Alexandre Dumas, par Étienne Carjat

Les Mohicans de Paris

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Ce roman, le plus long d'Alexandre Dumas avec sa suite Salvator, se situe durant la monarchie de Juillet, entre 1827 et 1830. Il paraît en feuilleton, de 1854 à 1859, dans le journal fondé par Dumas lui-même. Le héros en est Salvator, commissionnaire dans la rue aux Fers, dont on ne fait que deviner le mystère dans cette première partie. Il fréquente le petit peuple de Paris et nombre de personnages aux destins tourmentés, dont les histoires s’entrecroisent. La toile de fond est l'opposition des loges contre Charles X, à laquelle Dumas, républicain ardent, a pris part. Ces quatre premiers volumes seront suivis de cinq autres sous le titre de Salvator.

22 Commentaires

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  1. Merci pour cette lecture, les quelques chapitres que j’ai écouté (environ 1/4 des chapitres).
    Comparé à d’autres commentaires j’ai trouvé la vitesse de lecture agréable (j’aime aussi les lectures un peu plus rapide).
    Merci pour ce travail formidable qui a vous prendre un temps fou.

  2. Cher Gustave,
    Merci d’avoir enregistré cette oeuvre de Dumas que je ne connaissais pas du tout. J’ai eu un peu de mal à entrer dedans mais, ensuite, c’était du régal. Quelques longueurs bien sûr mais aussi des moments extrêmement savoureux comme le dialogue entre Jackal et Gibassier. On retrouve tout le talent de dialoguiste de Dumas et, aussi, un peu de lui-même et de sa jeunesse. Ce jeune poète aux cheveux crêpus et au teint basané s’appelle-t-il vraiment Jean Robert ?
    Votre lecture me plaît toujours beaucoup. Je ne la trouve pas trop rapide et, comme l’a souligné un autre audiolecteur, vous arrivez à la rendre vivante tout en restant suffisamment neutre pour ne pas forcer le texte. J’admire comment vous arrivez à faire entendre les différents personnages, y compris les personnages féminins.
    Merci encore pour toutes ces heures consacrées à enregistrer un tel double pavé !

  3. Avec l’esprit encore plus tortu que le corps, j’ai l’impression (fausse ?) qu’il y a de l’humour gourmand dans votre lecture. Hier soir, quand le Valgeneuse tentait d’embobiner Toussaint Louverture et Jean Taureau, je me marrais (in petto) pendant le dîner. Ce n’est qu’un exemple.

    Ne faudrait-il pas tenter le coup avec “Le vicomte de Bragelonne” où le père Dumas inflige à ses pauvres lecteurs bénévoles des centaines de pages sur les amours de Louise de La Vallière et de Louis XIV avec le Raoul qui se morfond en arrière-plan ?

    Je raffole pas des fayots ni des choux, ni de tout ce qui fermente et provoque un surplus de dégazage nauséabond. Je goûte pas longtemps le flageolet, la bombarde, le biniou et l’accordéon. Parlez-moi du violoncelle ou de l’orgue, ça oui ! ou du surin et de la mitraillette.

    Parrain vous salue cordialement. Tous !

  4. Mille et trois mercis pour votre lecture des “Mohicans de Paris” et de “Salvador”, qui sont un seul et même livre, deux lourds pavés dans l’édition “Quarto” de Gallimard. A écouter, ça passe impec. Avec le livre sous les yeux ?… Il y a peut-être des longueurs et Dumas lui-même semble parfois un brin paumé comme un chou. D’après ce que j’ai appris, il a mis cinq ans à en venir à bout, après plusieurs arrêts et au milieu d’autres chantiers littéraires. Adoncques, grâce à vous j’ai découvert cette oeuvre de Dumas.
    Cordialement,
    Marc.

  5. Quel régal de découvrir grâce à vous “Les Mohicans de Paris”, grâce à votre lecture à la fois vivante et suffisamment “neutre” ! Je suis encore loin de la fin, mais la rencontre entre Pétrus et son oncle m’a fait marrer in petto comme un diable en goguette.
    Mille mercis à vous.
    Cordialement,
    Marc.

  6. Un gran merci pour cette merveilleuse lecture qui m’accompagne pendant mon travail de restoration de peintures de chevalet

  7. Je vous remercie pour cette belle lecture qui permet de goûter au texte.Roman à rebondissements et à l analyse subtile des sentiments de la jeunesse d alors mais qui n est pas si éloignée de celle d’aujourd’hui.Bien cordialement

Lu par GustaveVoir plus

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