La Commune de Paris (1871) a profondément marqué François Coppé (1842-1908).
Dans un de ses Contes rapides (1888) intitulé Œuvres posthumes, il exprime sa rancœur à l’égard d’un certain communard Michel Polanceau… Valeur historique du document et belle expression de pitié pour la veuve d’un poète tombée dans la misère.
« Ce naïf poète avait commandé une bande d’ivrognes incendiaires et s’était fait tuer pour une loque rouge ! N’était-ce pas révoltant ? Oh ! l’infamie, la bêtise des rages politiques ! »
Illustration : Maximilien Luce, Une rue de Paris en mai 1871 (1903-1906).
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Livre audio gratuit ajouté le 22/05/2018.
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Lu par René Depasse
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