Pauline Pucciano

Pauline Pucciano

Ses commentaires les plus récents

  1. Un grand merci, Pastelle ! Vous avez raison, c’est de la très grande littérature… Si vous voulez rester avec notre belle équipe, et retrouver un peu de joie, je ne saurais que trop vous conseiller d’aller voir du côté d’Emily Eden. Cela vous raccommodera sans doute avec l’humanité 🙂

  2. Bonjour Katia, normalement vous devriez maintenant pouvoir télécharger le fichier zip. Excusez-nous pour le retard dans notre réaction, et n’hésitez pas à revenir vers nous si le problème persiste.

  3. Merci mille fois, Kakalake, je suis vraiment très touchée par votre compliment. “Les Artocrates” se déroule dans une cité contemporaine d’Albâtre, et oui, vous y retrouverez des personnages. Mais… Dune ! Dame ! Que penseriez-vous de Timothy Chalamet dans le rôle d’Artus ? 😉

  4. Bonjour C Chafiai Aya, le livre que vous cherchez n’est pas libre de droit et vous ne trouverez ici que des livres libres de droit ou publiés sous licence creative commons.

  5. Chère Marissa Dubois, c’est avec un immense plaisir que je découvre votre commentaire ! C’est un très beau cadeau que vous me faites, et je vous en remercie du fond du coeur.

  6. Bonjour Eldo, en général, vous avez un lien en bas de la présentation du livre audio qui vous permet d’accéder à une version numérique libre de droit de l’oeuvre que vous êtes en train d’écouter. Vous allez trouver la mention : “Consulter la version texte de ce livre audio”, et il vous suffit alors de cliquer sur le lien bleu.

  7. Cher Julien, je suis très touchée… Un seul commentaire comme le vôtre me paye de toutes les affres de la création ! (J’ai adoré l’Assassin Royal, et, si j’ai toujours trouvé que l’univers du Trône de fer était redevable à celui de Robin Hobb à plus d’un égard, je ne connaissais pas cet hommage direct de GRR Martin). À très bientôt, je l’espère, dans un autre futur ou dans un passé de fantasy…

  8. Cher Daniel, j’ai écouté votre belle lecture avec beaucoup d’intérêt. Cette nouvelle a un certain nombre de points communs avec Veiller sur Elle, le Goncourt 2023, que j’ai beaucoup aimé… Je reste cependant songeuse sur le titre, car le secret me paraît être non celui d’Edigio, mais plutôt celui de Roberto, ou même de Faustina – en tous les cas, un secret que le lecteur ne réussit pas à percer… Merci à vous.

  9. Merci beaucoup de vous intéresser ainsi à différentes oeuvres que j’ai écrites. C’est un honneur et un plaisir pour moi de savoir que vous avez eu envie “d’en écouter d’autres”.

  10. Merci Bassayaya ! L’aisance n’est qu’apparente… Ce petit livre a été difficile à construire et à écrire. Je suis d’autant plus contente qu’il ait fonctionné pour vous 🙂

  11. Merci beaucoup, chère Christiane-Jehanne, pour ce gros travail de mise à disposition de l’oeuvre de Chateaubriand, que vous menez avec tant de talent et de patience ! 🙂

  12. Merci à vous Suzen, ainsi qu’à Patrick dont je découvre seulement le message. J’ai beaucoup de chance avec ce roman : deux lectures par deux grands DDV de ce site. Daniel m’a fait l’honneur de lire plusieurs de mes textes, et c’est à chaque fois un plaisir pour moi de l’entendre lire mes récits. Quant au roman… il occupe une place à part dans mon parcours, et je suis heureuse qu’il émeuve des lecteurs, malgré toute la souffrance qu’il décrit.

  13. Merci Marion ! L’univers d’Emily Eden est frais et attachant, et nous vous invitons à y poursuivre votre visite en passant par Eskdale Castle, dans le Couple Désaccordé…

  14. Ce que j’aime dans la littérature fantastique, et ce qui est porté à un très haut degré chez Stoker, c’est le génie des atmosphères… Et les atmosphères de Dracula, du château des Carpates jusqu’à la petite station balnéaire au clair de lune, en passant par le bateau hanté, l’asile psychiatrique ou le cimetière de Londres, sont vraiment extraordinaires de poésie et de mystère. Le côté manichéen, tant qu’il ne brise pas le charme, ne me dérange pas. Et pour rendre justice à la fin du roman, je trouve que la course finale contre le soleil, avec ce cercueil voyageant à bride abattue dans la neige, est quand même très réussie… Cachez bien votre sang printanier, cher Sautillant, de peur qu’il n’aiguise l’appétit des enfants de la nuit…

  15. Nous sommes très heureux d’avoir permis à l’humour d’Emily Eden d’arriver jusqu’à des oreilles francophones… Merci pour vos encouragements précieux !

  16. On dirait qu’une sinistre malédiction frappe notre livre audio préféré… Je suis malheureusement une faible femme totalement démunie pour m’attaquer à ce problème, et il faudra que notre vaillante équipe de preux intervienne sur ce cas délicat…

  17. Oui, chère Origan, en effet, la traduction des fautes d’anglais est toujours une énorme difficulté. Nous avions d’ailleurs abandonné la traduction des fautes de langue de Van Helsing dans Dracula, pour lui donner un langage plus conventionnel, parce que le casse-tête était trop ardu. Mais ici, pour les servantes, c’est en effet plutôt un jeu… Dans la deuxième partie, il y a un personnage français qui fait sans cesse des gallicismes, en traduisant littéralement des expressions françaises et en utilisant des faux amis : ce n’est vraiment pas facile à rendre en traduction française, et nous avons essayé de nous en tirer au mieux ! Vous nous direz ce qu’il en est…

  18. Ce que Vincent ne vous dit pas, avec sa modestie habituelle, est que c’est lui et lui seul qui a déniché Emily Eden. C’est lui aussi qui fait tout le travail de montage, si délicat !

  19. Chère Eole, nous sommes très honorés par votre commentaire ! Merci beaucoup pour cette mention spéciale – même si, à titre personnel, j’ai une préférence pour la non moins perfide Mrs Douglas…

  20. J’aime beaucoup votre notion de “sosie verbal” 🙂 Mais je ne dois pas être très physionomiste en matière de voix, car cette très troublante association ne m’est jamais apparue !

  21. Bonjour Claryssandre, et merci pour votre retour. Je trouve que le livre audio nous permet de sortir de nos lectures habituelles, de nous hasarder dans des paysages littéraires un peu plus arides ou un peu plus escarpés, et je suis très heureuse de vous avoir entrainée vers ce récit expérimental, mais finalement tout à fait praticable ! Je suis d’accord, la fin nous laisse un peu… sur notre faim ! 😉

  22. C’est un joli compliment que le vôtre – il m’est arrivé bien souvent de souhaiter que les trajets en voiture durent plus longtemps pour profiter d’un livre audio… je suis donc honorée de me retrouver, pour ainsi dire, de l’autre côté de l’auto-radio ! 🙂

  23. C’est avec beaucoup de plaisir que j’écoute cette oeuvre collective, qui me permet aussi de découvrir de très belles voix que je ne connaissais pas… Hugo excelle dans ces visions grandioses, épiques, aux atmosphères surnaturelles… à consommer sans aucune modération !

  24. Merci Guilhelme… Nous sommes en train de finaliser la première partie de l’autre roman d’Emily Eden, qui s’intitule “Le couple désaccordé”. Vous devriez pouvoir vous régaler à nouveau très bientôt !

  25. Bonjour hlyotier ! Oui, c’était intéressant d’emprunter la subjectivité des générations futures pour juger de notre présent. Merci pour votre aimable commentaire !

  26. Merci chère Gaëlle ! Je n’ai pas trouvé, pour ma part, que le livre souffrait de longueurs, mais je crois que je ne suis guère objective, car Thomas Hardy m’a définitivement conquise…

  27. C’est pour moi le grand chef d’oeuvre de Thomas Hardy… À son exploration habituelle des erreurs, des contretemps et des faiblesses qui orientent les destinées humaines, il ajoute ici une touche gothique aussi émouvante qu’esthétique. J’aime infiniment la capacité de Hardy, à son époque, à adopter le point de vue de la femme, en dénonçant dans tous ses romans, infatigablement, le poids tragique du patriarcat sur des femmes qui essaient d’être libres. J’ai aussi trouvé que son titre, Tess d’Urberville, est d’une prodigieuse intelligence… D’Urberville par la volonté de son père obsédé par les tombeaux de ses aïeux, d’Urberville par la volonté d’Alec qui usurpe ce nom, d’Urberville surtout par l’atavisme obscur et tragique qui pèse sur elle – c’est pour son malheur et malgré elle que ce nom la poursuit. Votre lecture, Daniel, est parfaite, comme toujours !

  28. C’est moi qui vous remercie pour ce commentaire si précieux. Votre désespoir fait vraiment mon bonheur ! 🙂 Dans quelques semaines je commencerai à enregistrer le premier tome de Paraddict, dans sa version publiée, qui fera plusieurs longues heures d’écoute…

  29. Un double merci à vous, Nicolas, je suis ravie que mon univers littéraire vous ait plu ! Vous pouvez continuer à l’explorer sur le site, notamment avec la Cité d’Albâtre, dont les personnages principaux apparaissent dans les Artocrates. À bientôt j’espère !

  30. Merci chère Christiane-Jehanne d’avoir lu cette drôle de nouvelle de cette drôle d’autrice, que je découvre avec vous, et qui m’interpelle par sa réputation sulfureuse et sa prolixité. Il semble qu’elle ait écrit des romans gothiques et décadents, dont je suis curieuse.

  31. D’abord un grand merci pour vos mots qui me vont droit au coeur. En ce qui concerne l’inspiration libertaire, vous n’êtes pas le premier lecteur à me le dire, et pourtant, je vous confesse à mon tour que je ne m’inscris pas particulièrement dans cette mouvance, et que je n’en ai pas lu les auteurs. L’idée de l’organisation de la parole au sein du Conseil des Clés m’est venue après la lecture d’un article qui parlait du consensus comme forme alternative au vote dans la prise de décision démocratique, et qui parlait également de sa large utilisation dans les processus d’intelligence collective, comme Wikipedia par exemple, qui n’est pas modéré de manière verticale, mais horizontale, le texte “final” étant celui qui ne suscite plus de corrections. A partir de là, j’ai essayé d’imaginer ce que cela pourrait donner dans l’univers de l’Organe… Mes romans décrivent souvent une organisation sociale alternative, pour le meilleur ou pour le pire, dans l’utopie ou la dystopie, parfois entre les deux, comme dans les Artocrates. La Cité d’Albâtre, à partir du tome 2, dessine par exemple les contours d’une utopie collectiviste, très différente de celle de l’Organe …

  32. Joyeux Noël à tous ceux qui aiment, écoutent, fabriquent, partagent, et font vivre les livres audio sur ce site. Une pensée particulière pour ceux qui ne peuvent pas passer Noël avec leurs proches : que les voix amicales de ce site vous accompagnent…

  33. Bonjour Sylve et merci de votre long et intéressant commentaire… Oui, il me semble qu’il y a toujours quelque chose comme une occasion manquée, un destin raté, une erreur ou une illusion fatale, dans les récits de Hardy, même les plus optimistes. Mais je me dois de rendre à Daniel ce qui n’appartient pas à Vincent, car il me semble que c’est le premier et non le second qui a déniché la version feuilletonnée de Tess… sauf erreur (fatale?) de ma part.

  34. C’est moi qui vous remercie, chère Claryssandre ! 🙂 Eluard est un grand poète, et ce chant de deuil est particulièrement poignant. Je suis heureuse que ma lecture vous ait plu…

  35. Bonjour Geoffroy et bienvenue ! Pour devenir donneur de voix sur notre site, vous devez passer par le forum “Essais”. Vincent vous guidera jusqu’à la validation de votre essai. À très bientôt !

  36. Excellente nouvelle ! Je crois avoir lu quelque part que la version parue en feuilleton a été un peu censurée et tronquée, mais cela reste à vérifier.

  37. Bonjour Agathe, pardonnez-moi cette intrusion dans votre conversation, mais Madeleine Rolland est morte en 1960 et il vous faudra donc attendre le 01/01/2031 pour entendre la belle voix de Daniel vous lire Tess… PS : j’ai moi aussi beaucoup aimé, Daniel, votre lecture d’Une Femme Imaginative !

  38. Cher Philippe, je trouve comme vous que la littérature et les bons sentiments ne font pas toujours bon ménage… Merci de vous être ainsi laissé embarquer dans la Sonde !

  39. Un grand merci à vous pour avoir pris le temps de ce commentaire, Sylve ! Les personnages de Thomas Hardy sont tout sauf convenus; forts, marquants, parfois irritants, souvent touchants… toujours humains. C’est un grand auteur, qui a aussi, comme dans cette première scène, un talent particulier pour mettre en scène ses personnages dans des situations originales et intenses. Je ne peux que vous conseiller de continuer votre découverte avec les quatre magnifiques nouvelles lues par Daniel et par Vincent, sans oublier, bien sûr, “Loin de la foule déchaînée”…

  40. Vous me permettrez, cher.e Duscyl, de ramasser ce joli mot que vous avez laissé là, et de le garder précieusement… Je suis très touchée par votre compliment sur ma plume 🙂

  41. Nous sommes vraiment heureux, Domdom, d’avoir ainsi ravi vos oreilles ! 🙂 Nous sommes en train de traduire le second roman d’Emily Eden, qui promet tout autant de plaisir que le premier…

  42. Cher Philippe, soyez triplement remercié pour vos adorables messages ! Oui, j’ai été presque embarrassée d’avoir imaginé, dans cette pure fiction, une histoire qui s’est révélée avoir tant de ressemblances (fortuites) avec les obscures théories du complot qui ont fleuri par la suite… Mon dernier livre, Paraddict, aborde la question de certaines applications de l’Intelligence Artificielle et j’espère que celui-ci ne sera pas trop prophétique, car le futur que j’imagine n’est guère désirable…

  43. Un grand merci à vous, chère âmelette Sautillelette… 🙂 Savez-vous que j’ai pensé à votre poème en lisant les derniers mots “Je dors” ? Mais puisse cette estivale villégiature n’être plus qu’un mauvais souvenir, car je vous rappelle que vous êtes absolument obligé de souffler vos 101 bougies dans quelques décennies sur Litterature Audio !

  44. Bonjour à tous,
    Nous avons créé un nouveau tag “Autrices” qui permet de filtrer les livres audio écrits par des femmes. Il vous suffit de taper “Autrices” dans le moteur de recherche.
    🙂

  45. Bonjour et merci, Claryssandre ! Je me suis posé la même question que vous. “Far from the madding crowd”… Il s’agit visiblement en anglais d’une expression lexicalisée, qui désigne la fureur et l’agitation du monde, comme lorsqu’on dit qu’il y a “un monde fou”. En français, “foule déchaînée” me fait plutôt penser à une foule révoltée, et cette nuance n’existe pas, je pense, dans le titre original. Batsheba vit retirée du monde, au sens où elle n’a pas de tuteur, pas de famille, pas de vie sociale, et cet isolement la rend vulnérable. Mais c’est aussi loin de cette agitation que se révèlent les caractères, celui de Gabriel Oak notamment, qui fuit les festivités chaque fois qu’il le peut, et leur préfère le travail et la sagesse, tandis que c’est la folie qui guette Boldwood… Cette campagne retirée est un théâtre où les passions humaines se développent en profondeur, et non superficiellement. C’est du moins ainsi que j’interprète le titre…

  46. Chapeau bas, chère Eole, c’est une lecture magistrale ! Je ne connaissais pas du tout ce texte, mais il est rare d’être déçu par Dumas, et vous avez restitué son atmosphère sanglante et gothique à la perfection ! Un grand bravo aussi pour la musique que vous avez dénichée et montée avec beaucoup de talent – et aussi pour le choix de l’ image, qui semble avoir été faite sur mesure pour illustrer le texte… Au plaisir de vous entendre à nouveau 🙂

  47. Cher ami, vous compensez très généreusement le peu d’intérêt suscité par ce livre – pourtant pétillant d’intelligence et d’humour. Je ne peux rivaliser avec vos hyperboles qui me font sourire, mais je vous remercie très sincèrement et très chaleureusement. Votre concept de “joaillerie narrative” me plaît beaucoup 🙂

  48. Cher Zorglub, je vous remercie infiniment pour votre commentaire. Les retours comme les vôtres me donnent toute l’énergie nécessaire pour créer, encore, de nouveaux horizons… En attendant, je me permets de vous conseiller ma nouvelle de SF Le Cinquante Millième jour, qui peut peut-être vous plaire.

  49. Je suis heureuse, Misklo et Ferlin, que ce beau livre soit désormais accessible à vos mères. Merci d’avoir pris la peine d’écrire un petit message pour elles !

  50. Merci pour votre commentaire, Sautillant, et bien à vous aussi 🙂 Je serai attentive à la présence éventuelle d’un étrange monolithe dans mon jardin… 😉

  51. Et mille fois merci. Je vous rassure, il y aura une suite, mais il faudra attendre un peu! Si vous ne l’avez pas encore écoutée, je vous recommande la trilogie de la Cité d’Albâtre, où vous trouverez l’histoire d’Aelenor et de Keller avant leur arrivée à Marsilia…

  52. Vous allez me faire rougir, Lïat, avec tous ces compliments immérités ! J’en conclus que vous avez apprécié le style de ce dernier roman, et j’en suis très heureuse. Merci de votre générosité en tant qu’auditrice; vos commentaires sont des rayons de soleil pour beaucoup d’entre nous.

  53. Merci infiniment, Marina ! Quel honneur que celui d’être “réécoutée régulièrement” ! Je ne vous cache pas qu’il vous faudra attendre un peu pour le tome 2 des Artocrates – mais le tome 2 de Paraddict, lui, devrait sortir en 2024 sur papier. 🙂

  54. Lïat, je ne connaissais pas vos talents de réalisatrice ! 🙂 Oui, cette vie rurale un peu idéalisée a beaucoup de charme (que nous sommes loin des paysans de Zola dans La Terre !) et Thomas Hardy excelle à la peindre, ou plutôt, comme je le suppose, à l’imaginer…

  55. Merci beaucoup Jibou, je suis ravie que vous ayez fait ma connaissance… à quelques milles de Weatherbury, commencez donc par rendre visite au maire de Casterbridge ! Cela prolongera votre expérience dans le Wessex…

  56. Quel plaisir de vous retrouver, chère Alice ! Votre compliment me fait particulièrement plaisir, car, en tant que lectrice, j’ai une prédilection pour les livres-mondes… Et je crois deviner que c’est ce qui vous a plu aussi dans mes histoires. Votre impatience pour la suite me réjouit : un grand merci à vous pour ce chaleureux commentaire !

  57. Merci beaucoup pour votre commentaire, Origan ! La grande originalité de ce roman par rapport aux autres est sans doute son optimisme, qui n’est pas si fréquent chez Hardy. L’adaptation de Vinterberg vaut vraiment le coup, autant pour la magnificence des paysages du Dorset, que pour l’incarnation des deux personnages principaux. Mais il a choisi de gommer les aspérités des caractères, et tout le monde, dans son film, est un peu moins coupable que dans le livre…

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