Gaëlle

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Ses commentaires les plus récents

  1. Monsieur Demiesse, vous me faites rougir ! ☺️ Votre message m’émeut aussi, car j’ai lu ce texte en pensant particulièrement à quelqu’un qui, j’en suis sûre, l’aurait aimé également. Par de tels éloges, me voilà bien récompensée du temps passé devant l’ordinateur à enregistrer, couper, nettoyer et recommencer encore. Grand merci pour votre message, qui m’encourage à poursuivre.

  2. Une touchante histoire, effectivement, de cette autrice que je découvre avec vous et que j’ai bien envie de connaître davantage ! Merci de cette belle lecture, en tout point réussie.

  3. Stefan Zweig sait parfaitement décrire les tourments de l’âme, et ceux de cette femme y sont très sensiblement exprimés. Quant au mari, quelle cruauté ! Il y aurait là-aussi un roman à écrire, pour comprendre par quoi il est passé… Votre lecture était, comme toujours, impeccable et j’ai apprécié les discrètes notes de musique qui l’accompagnant et ponctuent votre lecture. Un grand MERCI !

  4. Yves Chantal, votre message est perdu dans les limbes du site 🧐: je l’ai lu pourtant et vous en remercie. Je suis heureuse que cette lecture intéresse tout de même quelques audiolecteurs curieux, qui s’aventurent hors des sentiers balisés des auteurs les plus connus.
    Car il me semble que l’écriture de ce roman est très belle, les sentiments et les paysages y sont décrits finement, et Paule est un personnage de femme que je trouve très attachant.

  5. Je vous remercie de votre message, Estelle. J’aime beaucoup ce texte, la subtilité de la description des sentiments qui annonce déjà La Recherche. Il m’avait donné un peu de mal, à mes débuts, tout à la fois pour trouver ma respiration dans les longues phrases de Proust et affronter la technique d’un enregistrement audio. J’ai lu ici une autre nouvelle de Proust, les autres du recueil ne m’avaient pas tentées par contre. Il faudrait peut-être que j’y retourne voir…

  6. Cher Bruant, je vous retrouve ici ! L’illustration est celle du magazine américain ayant publié la nouvelle, et qui s’était fait la spécialité de ces histoires fantastiques. Je la trouve très réussie.
    La forme du journal ou du récit à un autre est souvent utilisée par Wells, j’aime cette façon de raconter les histoires qui fait passer d’un temps, d’un lieu, à un autre. Elle se prête bien aux lectures audio, je trouve.
    J’ai une tendresse particulière pour ce M. Cave maltraité par sa famille et qui trouve le réconfort dans ce monde lointain qu’il devine dans son œuf. Votre commentaire m’y a fait repenser, et je vous en remercie bien.

  7. Cher Bruant, merci de votre retour ! À vrai dire, Wells lui-même ne devait pas être sur de savoir où il voulait en venir puisqu’il a revu cette nouvelle plusieurs dizaines d’années plus tard et en a modifié la fin…

  8. Merci de votre lecture, toujours réussie et particulièrement divertissante ici ! Je n’avais jamais eu l’occasion d’écouter une enquête du commissaire Rosic, je crois que je vais de ce pas aller jeter un œil du côté des lectures de Cocotte, pour prolonger le plaisir !

  9. Je viens juste de terminer d’écouter ce roman, chère Pauline, qui m’a tenue compagnie pendant plusieurs mois. Je dois avouer que j’y ai trouvé quelques longueurs, mais les derniers chapitres valent largement d’aller jusqu’au bout, et me donneraient presque envie de recommencer au début pour prolonger encore un peu la soirée en compagnie de Batsheba et Gabriel… Grand merci pour cette lecture très réussie, qui retranscrit finement, sans effet superflu, toutes les émotions et contradictions des personnages.

  10. Je vous remercie bien de votre commentaire, Ahcys, qui me redonne du cœur à l’ouvrage en ce début d’année, et l’envie de continuer à proposer des lectures. Je suppose que votre commentaire fait plutôt référence à ma lecture Un dîner en ville de Proust qu’à celle-ci, dans un genre d’écriture bien different 😀
    Le rythme est difficile à trouver pour rentrer dans les longues phrases de Proust, poser la respiration au bon moment pour que la phrase garde du sens à l‘écoute. Je m’y étais prise à plusieurs fois pour cet enregistrement. Vous me faites plaisir en y ayant été sensible.
    Je n’avais lu que deux nouvelles de Proust, je ne m’y suis pas frottée depuis, je n’avais pas été emballée par les autres nouvelles du recueil. Après tout, avec un œil neuf… mais j’ai déjà tellement de lectures en attente !

  11. Bonjour Jade,
    Le lecteur intégré au site ne permet pas de modifier le rythme de lecture, il vous faudrait télécharger le MP3 et en accélérer le tempo dans un logiciel externe (sans pour autant modifier la tonalité de la voix). Cependant, chaque DDV a son propre rythme, qui fait partie intégrante de son style de lecture, il est un peu dommage de le dénaturer, à mon avis…
    Bonne continuation sur notre site

  12. Chère Pauline, il va peut-être falloir que j’ajoute un message d’avertissement au billet : ne pas écouter à la nuit tombée dans une grande maison isolée !
    J’espère ne pas vous avoir empêché de dormir…
    Merci de votre retour, c’est important de se savoir écoutée pour garder l’envie de poursuivre les enregistrements.

  13. Bonjour Marc,
    Cet outil avait été développé par un audio lecteur féru d’informatique, Daniel – Stressless, pour son usage personnel, et il l’avait mis à disposition plus largement aux utilisateurs de L.A. Daniel est décédé il y a déjà trois ans, et son site n’est donc plus maintenu. Il était bien pratique et permettait un tri synthétique des lectures disponibles.
    Le site LitteratureAudio bénéficie à présent d’un outil de recherche avancée, avec des filtres, qui devrait vous rendre service : https://www.litteratureaudio.com/?s#results
    Bonne écoute sur notre site,
    Gaëlle

  14. Je suis d’accord avec vous, Cendrillon, c’est la descente vers la folie, induite par cet enfermement forcé et l’absence de toute distraction, que décrit ce texte avec beaucoup de force. Merci de votre écoute.

  15. Bonjour Jean-Pierre,
    Si vous découvrez notre site, préparez -vous à de nombreuses heures de ménage qui s’envolent par magie, de chemins qui paraissent toujours trop courts, de nuits jamais assez longues pour écouter les milliers d’heures disponibles !
    Mais vous ne trouverez pas de sitôt Simone de Beauvoir, car seules les textes tombés dans le domaine public peuvent être mis à disposition ici, soit 70 ans après la mort de l’auteur et de son traducteur le cas échéant. Ce sera donc l’occasion de découvrir des auteurs plus anciens, certains tombés injustement dans l’oubli que les DDV font revivre.
    Gaëlle

  16. Cendrillon, je suis ravie de vous retrouver ici ! Je ne m’étonne pas que ce texte vous ait plu, il partage un peu du mystère et du merveilleux que vous aviez déjà aimés dans Le Sang de la Sirène. Il faudra que je me replonge dans les recueils des nouvelles de Le Braz pour chercher d’autres histoires de cette veine à proposer, que j’affectionne particulièrement. Et quelle belle écriture !

  17. Merci de votre message, Cendrillon, je suis ravie que vous ayez été sensible à l’ambiance de cette histoire.

  18. Je joins ma voix à ce concert de louanges. La lecture posée de Pomme sur l’accompagnement musical donne particulièrement à entendre le poème de Sautillant. Bravo à tous les deux ! 👏

  19. Bonjour JCLD, avez-vous vérifié que le volume du lecteur du site (en bas de la page) ne soit pas simplement en mode silencieux ? Cela m’est arrivé sans y faire attention, et à d’autres également 😉

  20. Merci à tous les DDV pour cette charmante pièce de théâtre. Tout est bien qui finit bien !

  21. Juliette, je suis ravie de savoir que je vous ai donné l’occasion de découvrir Charlotte Perkins Gilman, c’est l’un de mes petits plaisirs sur le site, au delà de celui de lire à haute voix, que de donner à entendre des autrices méconnues.
    Ce texte est, à ce qu’il parait, un classique aux États-Unis, mais me paraît méconnu par chez nous, malgré plusieurs traductions disponibles. Et si vous ne l’avez pas vue, j’ai publié récemment une autre de ses nouvelles dans la même veine, et quelques autres plus distrayantes les années passées.
    Quant à la traduction, j’ai été bien aidée par celle trouvée en ligne, car je ne m’en sortais pas seule, j’ai abandonné plus d’une fois !
    Merci de votre retour, je vous souhaite de belles découvertes sur le site.

  22. Chère Claryssandre, je suis comblée de savoir que mon intérêt pour cette autrice est partagé par de nombreux audiolecteurs comme vous, et que mes lectures participent à faire connaître son écriture. Cela m’encourage à poursuivre l’exploration de ses nouvelles, j’espère en proposer d’autres au fil du temps. Elle a également écrit des textes sociologiques et politiques sur la situation des femmes au début du XXème siècle, mais je me sens plus portée à lire des fictions.

  23. C’est effectivement un bel hommage rendu à tous les DDV du site ! 🥰Mais sous quel pseudo pourrait-il bien est inscrit sur le site ? Un personnage de l’un de ces films, peut-être ??
    Cher Michel, si vous nous lisez, continuez à vous détendre en nous écoutant lire ; et moi, j’avais déjà prévu de passer une bonne soirée devant votre film lundi soir – échange des bons procédés !😃

  24. Cher Bruant, votre analyse de ce texte me semble très pertinente et profonde, je n’avais pas pensé à tous ces aspects psychologiques sur le traumatisme. On sait pourquoi on lit quand on est écouté comme cela ! J’espère obtenir l’autorisation de lire une autre nouvelle du même recueil, qui est très réussie et à plusieurs niveaux d’interprétation également.
    J’aime beaucoup les textes où le fantastique vient juste perturber la réalité et apporter un peu de rêve, d’inquiétude, pour révéler une vérité cachée. HG Wells le fait aussi très bien. Merci de votre fidélité, je retourne très vite au micro !

  25. Encore une belle lecture que vous nous avez proposée là, Bruant ! Comme Ribambelle, il m’a semblé que l’histoire s’étire et accumule les rebondissements de manière un peu artificielle – je me suis même demandée si la publication avait été faite en feuilleton, pour avoir tant de retournements de situation ! – une fois que l’histoire n’est plus centrée sur le château. Votre lecture n’est pas en cause, bien au contraire c’est grâce à vous que je suis allée au bout, et j’ai maintenant envie de découvrir d’autres romans de Radcliffe, c’est dire !

  26. Bonjour Agnès ,
    Nous ne pouvons publier sur le site que des auteurs
     “tombés” dans le domaine public, ce qui correspond en France à 70 ans révolus après leur décès. Les romans de Martin du Gard seront donc libres de droit à partir du 1er janvier 2029… un peu de patience, donc, mais je suis bien sûre que des DDV s’en empareront ! D’icI là, vous avez le temps d’écouter les plus de 8000 livres Audio disponibles, pour des heures – des années même ! – d’écoute et de découvertes !
    Bonne écoute ! 😃

  27. Cher Sautillant, chère Bruissement, merci de vos chaleureux messages. Ils constituent une fière récompense pour le temps passé à lire, corriger , chercher l’accord parfait entre musique et texte….
    La préface du recueil indique que ce texte est la première nouvelle publiée par Charlotte Perkins Gilman, et l’on y retrouve quelques points communs avec Le Papier peint jaune, il me semble. J’ai été bien contente de pouvoir lire la traduction de Virginie Wallbrou, car la première partie est écrite dans un vieil anglais qui m’aurait donné du fil à retordre, et je ne m’y serais sans doute pas risquée.
    Votre analyse est très juste, Sautillant : évocation, suggestion, rien n’est tout à fait explicité et pourtant le drame est deviné, compris, et l’impression laissée sur ces trois jeunes couples sans doute gravée à jamais. Merci encore de votre soutien sans faille !

  28. Merci de votre retour, verotarn. Jean Balde a écrit d’autres romans, qui intéresseront peut-être d’autres DDV pour nous permettre de mieux connaître cette écrivaine oubliée – pour ma part, j’ai beaucoup aimé celui-ci, mais je ne me sens pas capable de me replonger de sitôt dans une lecture aussi longue !

  29. Après Monsieur, j’ai donc écouté Madame Malot, et me suis laissée porter par votre belle voix dans ce court texte mélancolique. J’espère que nous aurons le plaisir de vous écouter bientôt dans des textes plus longs.

  30. Cher Christian, votre Anie m’a tenue compagnie ces derniers semaines de vacances. Votre lecture est toujours impeccable, et l’accompagnement musical discret mais parfaitement choisi pour rentrer dans l’atmosphère du texte.
    Sans doute du fait de ce moment particulier pour moi, j’ai été particulièrement touchée par le personnage du père et son amour pour sa fille, qui transparaît dans tous ses actes. Il me semble qu’au delà du respect et de la loyauté vis à vis des volontés de son frère, c’est ce qui le guide jusqu’à la fin du roman. Je me rends compte que je ne connaissais pas vraiment Hector Malot, et vais me pencher sur les autres lectures disponibles. Merci infiniment !

  31. Le choix d’un accompagnement musical en accord avec ce que je ressens de l’ambiance du texte est toujours un choix délicat et ô combien personnel, qui ne fait pas toujours l’unanimité parmi les audio-lecteurs/lectrices. Vous me faites infiniment plaisir, donc, en y ayant été sensible ! Merci beaucoup, et j’espère effectivement vous retrouver sur une autre lecture.

  32. Cher Vincent, merci de cette découverte ! Une nouvelle fantastique, c’est un genre qui vous va bien à la voix ! N’auriez vous pas envie de partager d’autres lectures de cet auteur ?

  33. Chère Pauline, merci infiniment pour votre retour ! Oui, Jean Balde / Jeanne Alleman est tombée dans l’oubli, ce roman fait pourtant preuve d’une grande finesse d’écriture et d’analyse des personnages, je l’aime beaucoup et suis enchantée d’avoir réussi à faire partager mon enthousiasme.
    Odette était sans doute, au début du XXè siècle, un prénom très courant pour une jeune femme ! Je ne crois pas qu’il faille y voir un hommage discret à Proust… Quant à Eugénie Grandet, il faudra que je m’y replonge, je n’en ai qu’un souvenir lointain… 🙁 Je vois que Pomme en a fait la lecture, je vais peut-être me laisser tenter, pour l’été !

  34. Cher Bruant, j’ai beaucoup aimé votre lecture de ce roman, votre capacité à prendre la voix d’Yvonne sans que cela ne semble forcé, et l’accompagnement musical qui fait entrer dans l’air du temps. Je me suis laissée emporter par votre voix, et ai été émue par ce beau personnage d’Yvonne, qui s’ouvre à la vie et évolue progressivement. Eugène Dabit m’était totalement inconnu, et j’ai bien envie à présent de découvrir ces autres œuvres. Peut-être vous laisseriez-vous tenter par une version 2 de L’Hotel du Nord ?

  35. Chère Lïat, je suis tout émue de votre cri du cœur ! Il ne pouvait mieux tomber pour me donner envie de me remettre à l’ouvrage.
    Quant à votre suggestion de lecture, sur laquelle rompampa a renchéri, elle me laisse un brin perplexe… Je n’ai rien contre les versions multiples, quant il s’agit de proposer une lecture d’un style différent, et j’aimerais beaucoup vous faire plaisir. Mais je dois vous avouer que je ne me sens vraiment pas à ma place dans cette lecture… 😕
    J’ai une autre histoire de fleurs en projet, une nouvelle de Charlotte Perkins Gilman, plus tragique et d’un tout autre style que la nouvelle de Silvestre, je ne sais si elle vous plaira. Car évidemment, la chute en sera moins amusante !
    Bonne fin de semaine à vous également, et merci encore de votre message🍓

  36. Cher Ahikar, je vous remercie de votre message. Le commentaire de Mauriac me paraît un brin dédaigneux (« livre honnête » ?? Est-ce là un compliment ???) mais reconnaît tout de même la belle écriture, la profondeur des sentiments et des personnages, je lui pardonne donc. 😃
    PS : J’ai bien reçu votre courriel, je vous répondrai directement – j’ai été très préoccupée ces dernières semaines et peu disponible, je vous prie de m’excuser.

  37. Merci de votre écoute, Bricolo. Je suis d’accord avec vous, par delà les détails et les modes de vie qui marquent un roman dans son temps, l’âme humaine reste fondamentalement inchangée, et les personnages de celui-ci ne sont pas si éloignés de nous…

  38. Merci à vous, Marie-Thé, d’avoir pris le temps de me faire un commentaire. Le micro est en veille en ce moment, mais bien sûr je reprendrai mes lectures plus tard, quand j’en aurai le loisir.
    J’en ai déjà publié quelques unes qui pourraient vous plaire – je me permets de vous conseiller particulièrement Les Confidences de femmes, lues avec deux autres DDV, d’une autre écrivaine oubliée, Annie de Pène. Ou La Fin de la jalousie, de Proust, une nouvelle émouvante à l’écriture ciselée, que j’avais publiée il y a plusieurs années.

  39. Votre message me comble, chère Christina, et rejoint celui d’Hervé : l’écriture de Jeanne Alleman aka Jean Balde décrit subtilement les scènes, les lieux, les personnages, et nous les rend présents malgré les 100 années qui nous séparent d’elle. Je suis heureuse de contribuer à la faire connaître.

  40. Merci, Hervé, de votre écoute et de votre message. C’est vrai que les descriptions des lieux, à Bordeaux comme dans la campagne girondine, sont très fines et sensibles. Elles m’ont donné l’impression en lisant de reconnaître les lieux, de m’y promener en suivant Paule et Gérard.

  41. Chère Bernie, vous m’avez fait bien rire 😃 ! L’annuaire serait, en fait, un bon exercice de diction pour se chauffer la voix ! Mais j’espère surtout avoir réussi à ne pas vous endormir, avec cette lecture…

  42. Jane Austen et Balzac, je n’y avais pas pensé, à vrai dire, en la lisant… Mais romantique, assurément ! En tout cas, je suis d’accord avec vous, Bruant, le roman est intéressant au delà de l’intrigue sentimentale, dans la description sans concession des caractères – de sa famille, de la bonne société bordelaise, des paysans qui rôdent autour d’elle. Seuls quelques-uns sont « sauvés », plus humains, plus sincères et compatissants.

  43. Merci à vous Lïat, Claryssandre, Bruant, pour vos messages qui me récompensent grandement du temps passé et me donnent envie de retourner devant le micro 🙏🥰
    Pour tout vous dire, j’ai démarré cette lecture au soir du 1er confinement… en mars 2020… la fleur au fusil, pensant que tout ce temps bloquée à la maison me serait ainsi profitable… Quelle naïveté, quel optimisme ! En fait il m’a fallu trois ans pour aboutir, après avoir mis de côté plusieurs fois les enregistrements pour d’autres lectures plus courtes, et avoir eu plus d’une fois l’impression de m’y noyer… L’envie de faire découvrir cette écrivaine et ce beau roman a été une motivation à ne pas abandonner malgré tout, ainsi que l’espoir que la lecture saurait plaire. Mais l’on ne m’y prendra plus de sitôt à me lancer dans un texte si long, je vais retourner à des textes plus courts, plus compatibles avec mon rythme et mes contraintes personnelles.

  44. Je plussoie 👍 au message de Claryssandre ! Bravo pour cette lecture – et la traduction ! – à deux voix, vive, alerte, drôle, fluide. Vous m’avez tenu compagnie pendant un très long voyage, que je n’ai pas vu passer grâce à vous.

  45. Merci beaucoup de votre message, Christina, j’espère que vous aimerez ce roman. Il m’arrive de prolonger le ménage plus que strictement nécessaire pour finir l’écoute d’un livre audio 😃. Mais il y a d’autres occasions de se plonger dans une lecture : une grande promenade en solitaire, les transports en commun, les nuits d’insomnie, les salles d’attente…

  46. Cher René-Pierre, je vous retrouve ici avec plaisir. Christian a fait le plus gros du travail, c’est d’abord à lui que doivent aller vos compliments. J’ai aimé prêter ma voix à Gertrude, qui s’ouvre au monde peu à peu. Merci de votre commentaire, et – grillant la politesse à Christian 😉 , qui je l’espère ne s’en offusquera pas – j’espère vous croiser à nouveau entre d’autres pages.

  47. René-Pierre, Abenne, vos deux messages me comblent de plaisir, me flattent et m’encouragent à poursuivre ! Les retours des audiolecteurs, tels que vous, sont les seules récompenses que nous puissions attendre, en tant que donneurs/donneuses de voix sur ce site ; ils me sont particulièrement précieux et rendent cette activité un peu moins solitaire. J’ai atteint mon objectif si je vous ai fait partager les émotions de ce roman et de son écriture subtile, qui m’ont portées pendant toute la lecture.

  48. Chère Lïat, quel plaisir que de lire votre message ! J’ai moi-aussi été séduite par le style et l’écriture de ce roman, particulièrement dans les descriptions des paysages et dans celle des sentiments qui animent Paule et Gérard. Et les portraits de la bourgeoisie bordelaise sont particulièrement piquants, n’est-ce pas ? Je vous souhaite une bonne écoute de la seconde partie. ☺️🍓

  49. Cher Ponsard, je suis touchée de savoir que ma voix vous a tenu compagnie pendant votre journée de travail. Les paysages des vignes vous auront mis dans l’ambiance, d’ailleurs je suppose que l’histoire aurait pu être transposée en Champagne.
    J’ai moi-même découvert l’existence de cette écrivaine par ses liens avec André Lafon, dont j’ai lu ici un roman et des poèmes. Peut-être que d’autres DDV auront envie de poursuivre l’exploration de ses romans…

  50. Merci Fabien ! 😊 J’espère que l’histoire et le style du roman vous plairont également.

  51. Une belle réussite, de la vignette à l’accompagnement musical en passant – et c’est là l’essentiel ! – par une lecture parfaite, qui attrape l’oreille et transporte jusqu’à la porte de cette chambre mystérieuse ! Merci de nous faire profiter de votre talent de lecteur, cher Bruant, et à très bientôt, je l’espère !

  52. Merci de cette charmante lecture.
    Puisqu’il s’agit de votre première lecture ici, je me permets de vous suggérer d’appliquer un léger filtre sur votre enregistrement pour en réduire le bruit de fond, cela rendrait l’écoute plus confortable, je pense.

  53. Je vous remercie très sincèrement de votre message, Jérôme. J’ai lu plusieurs nouvelles de Wells ici, et je suis d’accord avec vous, j’aime autant L’Œuf de cristal que celle-ci. Je crois que c’est parce que les personnages y sont particulièrement touchants et sincères, attirés par le monde différent qui leur est découvert miraculeusement.

  54. Merci beaucoup de ton retour, Vincent. En ce qui concerne l’image, la version initiale, de même inspiration, mettait plus clairement en évidence le portrait de Charlotte Perkins Gilman derrière le papier peint, il faudrait que je la retrouve dans mes archives. Je me rends compte que celle-ci a été modifiée (pas par moi, a priori) lors de la mise à jour du site, et ne correspond plus à la légende… Et je ne sais pas qui en est l’auteur.

  55. Merci de votre message, Bruant, j’ai moi aussi découvert cette autrice avec ce texte. Les autres textes de Charlotte Perkins Gilman que j’ai lus ici ne sont pas dans cette même veine fantastique, mais j’ai le projet de lecture d’une nouvelle qui le sera.
    Charlotte Perkins Gilman a expliqué la genèse de ce texte, inspiré de sa propre expérience d’enfermement à la suite d’une dépression post-partum. Mais elle en fait quelque chose de plus qu’un récit autobiographique, en insinuant de manière très fine, petit à petit, des éléments de la folie qui emporte le personnage principal. Jusqu’à la dernière phrase, qui a été l’objet de diverses interprétations contradictoires !

  56. Merci de cette lecture, chère Lyra, qui nous donne l’occasion de faire votre connaissance ! Cette histoire est comme un conte, et l’on craint le drame à chaque chapitre. L’illustration que vous avez choisie est très belle.

  57. 😬 je dois avouer que je n’ai qu’un très vague souvenir de cette lecture… si mon commentaire n’était là pour le prouver, je n’aurais pas même parié l’avoir écoutée… Vincent, votre lecture n’y est assurément pour rien, je m’engage ici à vous écouter une seconde fois ! 😉
    Mais, Sautillant, vous m’avez perdue quelque part au cours de vos sauts et gambades : est-ce Vincent que vous surnommez Wedley ???

  58. Cher Christian, chère Claryssandre, c’est moi qui vous remercie de vos commentaires, qui me motivent à poursuivre l’exploration et la traduction des nouvelles de Charlotte Perkins Gilman ! C’est aussi parce qu’elles sont courtes qu’elles me plaisent 😉, je ne pourrais me lancer dans la traduction de textes longs et de plus je suis une lectrice très lente (plus précisément, un correctrice très pointilleuse, car la lecture à proprement parler n’est pas ce qui m’occupe le plus…)
    Vous avez raison, Claryssandre, la fin est très moderne, et sans doute quasiment utopique en son temps ! Je me demande bien comment ces textes étaient perçus par les lectrices du journal – qui n’a pas dû avoir beaucoup de succès, car il n’a duré que quelques années.
    À bientôt, c’est promis, avec une lecture plus conséquente.

  59. Cher Sautillant,

    Merci de votre musical commentaire, je suis charmée que cette histori-ette vous a donné l’envie de chanter ! Le néologisme “chaumièrette” – traduction du “cottagette” du texte original – ne vous aura donc finalement pas trop ecorché les oreilles ?
    Ces petites nouvelles de Charlotte Perkins Gilman sont édifiantes, leur vocation est clairement affichée dans sa revue, et elles n’ont pas un grand intérêt littéraire sans doute. Je les aime bien tout de même, la mise en situation des personnages me parait toujours originale et bien menée. CPG s’y moque gentiment de ses héros et héroïnes, sans sarcasme, et elle semble les écrire avec un regard affectueux malgré leurs réticences à sortir du cadre social restrictif de leur temps.
    Quant à l’illustration, je vous détrompe, il ne s’agit pas d’un collage, mais d’un dessin utilisant la technique des « fade-away girls » popularisée par Coles Philips dans ses couvertures de magazines, pour ce que j’en connais. Je les aime beaucoup, j’en ai toute une collection dans mon disque dur, et cherche les textes de CPG qui me donneront l’occasion de les proposer ! ☺️ Il y en a plusieurs qui auraient été dans le thème de cette nouvelle, mais celle-ci, je la trouve particulièrement réussie, je l’avais déjà envisagée pour une précédente lecture.
    Amicalement,
    Gaëlle 🍓

  60. Voilà un joli conte de saison. Merci pour vos lectures et vos choix toujours intéressants, cher Christian, et au plaisir de vous retrouver entre d’autres pages, comme vous dites !

  61. Merci de votre confiance, chère Claryssandre ! Belle et joyeuse fin d’année à vous également 🎄🤶

  62. Merci de votre commentaire, Vincent, je suis ravie de vous avoir fait découvrir ce petit texte. Quant à Borges, c’est une faille dans ma culture, car je ne l’ai jamais lu !

  63. Cher Sautillant, vous avez sans doute raison, cette nouvelle aurait pu être lue sur un ton plus léger – mais Vincent, lui, en apprécie la sobriété, c’est donc la quadrature du cercle !
    À vrai dire, dans le moment de la lecture, je ne cherche pas vraiment le ton, cela vient avec l’humeur du moment et le texte. Mais j’ai eu effectivement envie d’une musique d’accompagnement plus badine, et moqueuse, j’espère que vous l’aurez remarquée ! 😉

  64. Cher Christian, j’avais manqué la publication de la dernière partie de vos Illusions Perdues ! Je télécharge donc, voilà qui va occuper les soirées froides de l’hiver !

  65. Quelle formidable, effroyable histoire ! Jusqu’à la fin, j’ai espéré que le titre soit trompeur ! Votre lecture sobre, et qui rend pourtant toute l’intensité de ce drame, est impeccable. Bravo, chère Pauline, et merci. Cela me donne bien envie d’aller voir d’autres écrits de Charles Le Goffic.

  66. Merci infiniment, cher Vincent, je suis particulièrement fière que la traduction vous plaise, vous qui en faites régulièrement ! ☺️🙏
    À vrai dire, le style de Charlotte Perkins Gilman, dans ces nouvelles écrites sans doute rapidement pour être publiées dans son magazine, n’est pas très recherché et un peu répétitif dans la forme. J’ai donc pris quelques libertés avec le texte pour le moderniser, le rendre plus fluide et compréhensible à l’oreille, sans en changer le sens évidemment. C’est un plaisir de la traduction que j’ai découvert grâce à L.A. que de de chercher le mot ou l’expression qui sonnera juste, en m’entendant lire tout en l’écrivant. Et d’y caser, tels des clins d’œil à moi-seule adressés, quelque tournure de phrase personnelle ou un adverbe qui a ma préférence, et qui me rendront le texte plus naturel à lire !
    Votre message me motive pour mettre la dernière main à la traduction de la dernière nouvelle que j’avais entamée il y a plus d’un an, et qui ne mérite qu’un dernier petit polissage avant de pouvoir être lue ! Je m’y remets ce week-end ! 😇

  67. L’allusion à Proust dans le billet, la toute dernière de vos lectures… il ne m’en fallait pas plus pour écouter sans plus tarder ce conte charmant ! Merci, cher Christian, je n’ai pas été déçue ! Il est touchant de réaliser que les émotions d’un jeune garçon de 10 ans épris secrètement d’une brunette sont intemporelles : autres temps, autres moeurs… mêmes sentiments, devrait-on ajouter…

  68. Cher Vincent, merci de ces longues heures passées en la compagnie de David et d’Alan. Je ne connaissais rien de ce roman de Stevenson, et j’ai pris beaucoup de plaisir à vous écouter lire les aventures de David, ce long périple initiatique qui le fait grandir et le rend plus ouvert aux autres. Bon nombre de références historiques m’ont échappé sans doute, mais qu’importe, je me suis laissée happer par ce vrai roman d’aventures ! L’épisode de l’île déserte m’a beaucoup amusée ! Merci encore du temps que vous consacrez à vos lectures, toujours de grande qualité. 👏

  69. Merci TLT, votre message tombe à pic pour me donner l’envie de me remettre à une lecture et lutter contre le découragement qui m’accable en ce moment… Devinant, à vos propres lectures, votre intérêt pour le fantastique, peut-être serez vous particulièrement intéressé par les lectures que j’ai faites par le passé de nouvelles d’HG Wells ?

  70. Merci beaucoup de votre si aimable message, chère Claryssandre, je suis ravie que ce texte touche des audiolecteurs autant que moi. Je l’ai trouvé dans un recueil de nouvelles de Le Braz différent de celui des précédentes lectures que j’avais proposées, vous me donnez envie de regarder les autres nouvelles de ce recueil plus précisément.

  71. Merci de votre écoute, Vincent, et de votre amical commentaire. J’ai moi-aussi aimé son écriture, et la façon de se mettre en scène avec un brin d’auto-dérision. Il me semble que, dans ses reportages, Annie de Pène a évolué et que l’enthousiasme patriotique initial, plein de naïveté, ne tient pas face à la réalité qu’elle découvre dans les tranchées, les villes dévastées, les morts.
    Ces reportages sur le front étaient exceptionnels à l’époque , je crois, et j’imagine que ces textes parus dans la presse ont marqué ses lecteurs.

  72. Je vous remercie, cher Sautillant, de votre écoute attentive de ce texte. Effectivement, je l’ai trouvé fort et émouvant, plus encore que les précédents que j’avais lus ici. J’ai été très touchée par la façon dont Le Braz décrit les personnages, les lieux, les paysages, et semble lui-même sincèrement ému. Mais la lecture des noms bretons m’a donné bien du fil à retordre, de même que la longue oraison funèbre de Nola Glaquin !
    Quant à l’illustration, je suis ravie qu’elle vous plaise, c’est une inspiration de dernière minute ! J’avais démarré en choisissant une peinture d’Henry Moret illustrant les flots et rochers d’Ouessant, pour finalement préférer mettre l’accent sur Marie-Ange.

  73. Cher Sautillant, pendant que vous y êtes, ne passez pas à côté des polars nordiques. Je vous conseille tout particulièrement Henning Mankell et Arnaldur Indridason, et j’y ajoute Jo Nesbo – des maîtres du genre à découvrir impérativement. 🍓

  74. Cher Jean-Pierre, vous me faites bien trop d’honneur en me confondant avec une comédienne professionnelle ! Vous m’avez en tout cas donné l’occasion de découvrir cette série d’émissions, que je m’empresse d’ajouter à ma liste de podcasts pour l’été.

  75. Cher Vincent, je vous ai fait confiance en écoutant ce roman – a priori pas ma tasse de thé, cette histoire de chasseurs et de gros ours 😉 – et je ne le regrette pas ! J’ai été emportée par l’histoire, écoutée d’une traite, craignant le pire pour Tyr et Muskwa. Merci beaucoup de m’avoir donné l’occasion de découvrir ce texte et cet auteur.

  76. Cher Vincent, j’ai complété l’arbre généalogique de la famille Haygarth, et j’ai ajouté comme convenu le lien pour le consulter au descriptif du billet. Quelle famille ! J’ai même l’impression que quelques personnages dont le destin n’est pas tout à fait connu auraient pu être le point de départ de romans futurs de Mme Braddon …

  77. Merci de ton retour, Vincent. J’ai le projet de traduire encore quelques autres textes de Charlotte Perkins Gilman, dans la même veine. Quant aux illustrations, je suis tombée en admiration devant la série des couvertures de Coles Phillips, ses Fadeaway Girls, et j’ai téléchargé tout ce que j’ai pu trouver pour pouvoir les utiliser pour illustrer mes billets des lectures de Charlotte Perkins Gilman !

  78. Merci beaucoup de votre retour, Charlotte, cela nous est très précieux ! Je suis enchantée que cette lecture à deux voix vous ait plu.

  79. Pour celles et ceux qui, comme moi, se sont passionnés par l’histoire de la famille Haygarth, je me permets de signaler que j’ai mis au propre un arbre généalogique de la famille à partir des éléments dans le roman, que je mets à disposition ici à toute fin utile ( lien ajouté dans le descriptif du billet) avec l’accord de Vincent et Christine.
    Mais si vous n’avez pas encore écouté ce livre, surtout ne le regardez pas, cela gâcherait une partie essentielle de l’intrigue !

  80. [🚨Spoiler ] Je crois que j’ai trouvé ! Charlotte est l’arrière-arrière-arrière petite-fille de Matthew Haygarth, de la branche issue de son premier mariage avec Molly Murchison, tandis que le révérend John est simplement le fils de ce même Matthew et de sa seconde femme Rebecca ! 😃

  81. Merci Christian ! J’ai moi-aussi été instantanément séduite par ce court texte, que je me suis empressée d’enregistrer quand Ahikar me l’a proposé ! Je bouillais d’impatience de ne pouvoir le publier ici plus tôt …

  82. Cher Vincent,
    J’ai beaucoup aimé ce roman qui, une fois passés les deux premiers livres de présentation des personnages un peu fastidieux, devient réellement captivant ! La quête de Valentin, la multitude des personnages qui prennent ainsi vie au long des années, tout ce que cela révèle de la société anglaise du 18ème siècle (tout particulièrement l’histoire de Molly et Matthew), cela est passionnant, et je n’ai pu vous quitter pendant cette semaine de vacances ! Je vais donc poursuivre avec L’Héritage …, car je suis impatiente de savoir quel mauvais coup prépare Paget, qu’a en tête ce machiavélique Philipp Sheldon, et si Diana trouvera elle-aussi le bonheur qu’elle mérite ! Merci donc de cette belle lecture que vous avez, comme à votre habitude, rendu vivante et si agréable à écouter !

    [ALERTE SPOILER] Par contre, j’ai perdu le fil de l’arbre généalogique qui lie le vénérable révérend intestat à Charlotte 😕. J’ai bien compris qu’il y avait un mariage secret entre Matthew et Molly, qui ont eu une fille, qui elle-même a eu un garçon … et que cela nous amène à la grand-mère maternelle de Charlotte … Mais quel est donc le lien de parenté avec le révérend ? Auriez-vous par hasard essayé de tracer cet arbre au cours de votre lecture, ou est-il accessible dans l’édition que vous avez lue ?

  83. Cher Jean-Pierre, vous connaissez certainement cette citation de Pascal qui dit, à peu de choses près, “Je n’ai pas le temps de faire court” … 😉

  84. Merci beaucoup de vos retours, Pomme et Lïat ! C’est un grand plaisir de pouvoir à nouveau partager des lectures sur le site, et d’échanger avec les audio-lecteurs/lectrices.

  85. Cher Christian,
    En sortant du film de Giannoli – que j’ai beaucoup aimé, une vraie réussite de film en costumes, jamais empesé, vivant et résonnant avec notre temps – j’ai eu envie de connaître le roman de Balzac que je n’avais jamais eu l’occasion de lire « avec les yeux ».
    Je crois que j’ai d’autant plus apprécié ce texte qu’il est lu par vous, avec votre voix qui fait si bien entendre le texte, et emporte dans l’histoire. Les personnages de Balzac ont pris les traits de ceux du film pour moi, et j’attends maintenant la suite pour savoir comment Balzac a raconté la vie parisienne du fougueux Lucien. Mais qu’avait-il donc contre Angoulême pour en faire une critique aussi sévère ?
    Merci beaucoup, donc, pour avoir réussi encore une très belle lecture – je mesure le temps, la patience, l’abnégation presque qu’il faut devant l’écran de l’ordinateur pour un résultat de cette qualité – pour le plus grand plaisir de vos auditeurs. J’espère que, comme moi, grâce à vous, nombreux seront à découvrir le roman.
    Bonne continuation et bon courage pour la préparation des tomes suivants !
    Gaëlle

  86. Lisbeh, je vous remercie de votre commentaire, je suis enchantée de voir que de nombreux audiolecteurs sont comme moi séduits par les textes d’Annie de Pène !
    Sautillant, je ne connaissais pas ce roman ni cet auteur, merci de cette suggestion – mais je crains qu’une vie ne me suffira pas pour lire tous les livres qui me tentent !

  87. Merci de votre retour, cher Sautillant ! Vous avez raison, je suis très touchée par Annie de Pène, depuis que j’ai « fait sa connaissance », c’est une autrice dont je me sens proche, et c’est sans doute ce que vous avez ressenti dans ma lecture. Les deux textes, Tranchées et Pervyse, m’ont particulièrement émue. J’ai prévu d’autres lectures d’elle, mais j’ai un autre chantier en cours qui m’occupe bien …

  88. Merci de votre message, Gilbert, je suis très contente de savoir que les textes d’Annie de Pène intéressent les lecteurs, car je me suis moi-même attachée à cette écrivaine depuis que je l’ai découverte par hasard (il me semble bien grâce à une suggestion de lecture de Cocotte).
    Quant à vos propositions de lecture, seul le texte de René Benjamin pourrait être lu ici, les deux autres ne sont pas « assez morts » – si j’ose dire : les droits d’auteur s’appliquent encore, il faut attendre 70 ans après le décès de l’auteur (et de son traducteur) pour que ses textes tombent dans le domaine public. Alors, pour Genevoix et plus encore Jünger, il va nous falloir faire preuve de patience … et ce ne sera certainement pas moi qui vous les lirai !
    J’ai jeté un œil rapide à Gaspard, je dois vous avouer que je n’ai pas été très tentée, mais j’espère qu’un autre DDV prendra la balle au bond et vous l’offrira.
    Au plaisir de vous retrouver dans d’autres lectures !

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