Gaëlle

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Ses commentaires les plus récents

  1. Chère Jany, tout le mérite en revient à l’auteur, Ahikar, qui est un fin observateur et a le talent de transcrire en peu de mots ses impressions.

  2. Ah, quel plaisir de démarrer ce long week-end avec la publication de cette seconde partie ! Je l’attendais avant de commencer à écouter la première partie. Je me réjouis d’avance de retrouver vos deux voix dans un roman d’Emily Eden ! Merci d’avance pour le plaisir que vous nous procurez. 🙏

  3. Monsieur Demiesse, vous me faites rougir ! ☺️ Votre message m’émeut aussi, car j’ai lu ce texte en pensant particulièrement à quelqu’un qui, j’en suis sûre, l’aurait aimé également. Par de tels éloges, me voilà bien récompensée du temps passé devant l’ordinateur à enregistrer, couper, nettoyer et recommencer encore. Grand merci pour votre message, qui m’encourage à poursuivre.

  4. Une touchante histoire, effectivement, de cette autrice que je découvre avec vous et que j’ai bien envie de connaître davantage ! Merci de cette belle lecture, en tout point réussie.

  5. Stefan Zweig sait parfaitement décrire les tourments de l’âme, et ceux de cette femme y sont très sensiblement exprimés. Quant au mari, quelle cruauté ! Il y aurait là-aussi un roman à écrire, pour comprendre par quoi il est passé… Votre lecture était, comme toujours, impeccable et j’ai apprécié les discrètes notes de musique qui l’accompagnant et ponctuent votre lecture. Un grand MERCI !

  6. Yves Chantal, votre message est perdu dans les limbes du site 🧐: je l’ai lu pourtant et vous en remercie. Je suis heureuse que cette lecture intéresse tout de même quelques audiolecteurs curieux, qui s’aventurent hors des sentiers balisés des auteurs les plus connus.
    Car il me semble que l’écriture de ce roman est très belle, les sentiments et les paysages y sont décrits finement, et Paule est un personnage de femme que je trouve très attachant.

  7. Je vous remercie de votre message, Estelle. J’aime beaucoup ce texte, la subtilité de la description des sentiments qui annonce déjà La Recherche. Il m’avait donné un peu de mal, à mes débuts, tout à la fois pour trouver ma respiration dans les longues phrases de Proust et affronter la technique d’un enregistrement audio. J’ai lu ici une autre nouvelle de Proust, les autres du recueil ne m’avaient pas tentées par contre. Il faudrait peut-être que j’y retourne voir…

  8. Cher Bruant, je vous retrouve ici ! L’illustration est celle du magazine américain ayant publié la nouvelle, et qui s’était fait la spécialité de ces histoires fantastiques. Je la trouve très réussie.
    La forme du journal ou du récit à un autre est souvent utilisée par Wells, j’aime cette façon de raconter les histoires qui fait passer d’un temps, d’un lieu, à un autre. Elle se prête bien aux lectures audio, je trouve.
    J’ai une tendresse particulière pour ce M. Cave maltraité par sa famille et qui trouve le réconfort dans ce monde lointain qu’il devine dans son œuf. Votre commentaire m’y a fait repenser, et je vous en remercie bien.

  9. Cher Bruant, merci de votre retour ! À vrai dire, Wells lui-même ne devait pas être sur de savoir où il voulait en venir puisqu’il a revu cette nouvelle plusieurs dizaines d’années plus tard et en a modifié la fin…

  10. Merci de votre lecture, toujours réussie et particulièrement divertissante ici ! Je n’avais jamais eu l’occasion d’écouter une enquête du commissaire Rosic, je crois que je vais de ce pas aller jeter un œil du côté des lectures de Cocotte, pour prolonger le plaisir !

  11. Je viens juste de terminer d’écouter ce roman, chère Pauline, qui m’a tenue compagnie pendant plusieurs mois. Je dois avouer que j’y ai trouvé quelques longueurs, mais les derniers chapitres valent largement d’aller jusqu’au bout, et me donneraient presque envie de recommencer au début pour prolonger encore un peu la soirée en compagnie de Batsheba et Gabriel… Grand merci pour cette lecture très réussie, qui retranscrit finement, sans effet superflu, toutes les émotions et contradictions des personnages.

  12. Je vous remercie bien de votre commentaire, Ahcys, qui me redonne du cœur à l’ouvrage en ce début d’année, et l’envie de continuer à proposer des lectures. Je suppose que votre commentaire fait plutôt référence à ma lecture Un dîner en ville de Proust qu’à celle-ci, dans un genre d’écriture bien different 😀
    Le rythme est difficile à trouver pour rentrer dans les longues phrases de Proust, poser la respiration au bon moment pour que la phrase garde du sens à l‘écoute. Je m’y étais prise à plusieurs fois pour cet enregistrement. Vous me faites plaisir en y ayant été sensible.
    Je n’avais lu que deux nouvelles de Proust, je ne m’y suis pas frottée depuis, je n’avais pas été emballée par les autres nouvelles du recueil. Après tout, avec un œil neuf… mais j’ai déjà tellement de lectures en attente !

  13. Bonjour Jade,
    Le lecteur intégré au site ne permet pas de modifier le rythme de lecture, il vous faudrait télécharger le MP3 et en accélérer le tempo dans un logiciel externe (sans pour autant modifier la tonalité de la voix). Cependant, chaque DDV a son propre rythme, qui fait partie intégrante de son style de lecture, il est un peu dommage de le dénaturer, à mon avis…
    Bonne continuation sur notre site

  14. Chère Pauline, il va peut-être falloir que j’ajoute un message d’avertissement au billet : ne pas écouter à la nuit tombée dans une grande maison isolée !
    J’espère ne pas vous avoir empêché de dormir…
    Merci de votre retour, c’est important de se savoir écoutée pour garder l’envie de poursuivre les enregistrements.

  15. Bonjour Marc,
    Cet outil avait été développé par un audio lecteur féru d’informatique, Daniel – Stressless, pour son usage personnel, et il l’avait mis à disposition plus largement aux utilisateurs de L.A. Daniel est décédé il y a déjà trois ans, et son site n’est donc plus maintenu. Il était bien pratique et permettait un tri synthétique des lectures disponibles.
    Le site LitteratureAudio bénéficie à présent d’un outil de recherche avancée, avec des filtres, qui devrait vous rendre service : https://www.litteratureaudio.com/?s#results
    Bonne écoute sur notre site,
    Gaëlle

  16. Je suis d’accord avec vous, Cendrillon, c’est la descente vers la folie, induite par cet enfermement forcé et l’absence de toute distraction, que décrit ce texte avec beaucoup de force. Merci de votre écoute.

  17. Bonjour Jean-Pierre,
    Si vous découvrez notre site, préparez -vous à de nombreuses heures de ménage qui s’envolent par magie, de chemins qui paraissent toujours trop courts, de nuits jamais assez longues pour écouter les milliers d’heures disponibles !
    Mais vous ne trouverez pas de sitôt Simone de Beauvoir, car seules les textes tombés dans le domaine public peuvent être mis à disposition ici, soit 70 ans après la mort de l’auteur et de son traducteur le cas échéant. Ce sera donc l’occasion de découvrir des auteurs plus anciens, certains tombés injustement dans l’oubli que les DDV font revivre.
    Gaëlle

  18. Cendrillon, je suis ravie de vous retrouver ici ! Je ne m’étonne pas que ce texte vous ait plu, il partage un peu du mystère et du merveilleux que vous aviez déjà aimés dans Le Sang de la Sirène. Il faudra que je me replonge dans les recueils des nouvelles de Le Braz pour chercher d’autres histoires de cette veine à proposer, que j’affectionne particulièrement. Et quelle belle écriture !

  19. Merci de votre message, Cendrillon, je suis ravie que vous ayez été sensible à l’ambiance de cette histoire.

  20. Je joins ma voix à ce concert de louanges. La lecture posée de Pomme sur l’accompagnement musical donne particulièrement à entendre le poème de Sautillant. Bravo à tous les deux ! 👏

  21. Bonjour JCLD, avez-vous vérifié que le volume du lecteur du site (en bas de la page) ne soit pas simplement en mode silencieux ? Cela m’est arrivé sans y faire attention, et à d’autres également 😉

  22. Merci à tous les DDV pour cette charmante pièce de théâtre. Tout est bien qui finit bien !

  23. Juliette, je suis ravie de savoir que je vous ai donné l’occasion de découvrir Charlotte Perkins Gilman, c’est l’un de mes petits plaisirs sur le site, au delà de celui de lire à haute voix, que de donner à entendre des autrices méconnues.
    Ce texte est, à ce qu’il parait, un classique aux États-Unis, mais me paraît méconnu par chez nous, malgré plusieurs traductions disponibles. Et si vous ne l’avez pas vue, j’ai publié récemment une autre de ses nouvelles dans la même veine, et quelques autres plus distrayantes les années passées.
    Quant à la traduction, j’ai été bien aidée par celle trouvée en ligne, car je ne m’en sortais pas seule, j’ai abandonné plus d’une fois !
    Merci de votre retour, je vous souhaite de belles découvertes sur le site.

  24. Chère Claryssandre, je suis comblée de savoir que mon intérêt pour cette autrice est partagé par de nombreux audiolecteurs comme vous, et que mes lectures participent à faire connaître son écriture. Cela m’encourage à poursuivre l’exploration de ses nouvelles, j’espère en proposer d’autres au fil du temps. Elle a également écrit des textes sociologiques et politiques sur la situation des femmes au début du XXème siècle, mais je me sens plus portée à lire des fictions.

  25. C’est effectivement un bel hommage rendu à tous les DDV du site ! 🥰Mais sous quel pseudo pourrait-il bien est inscrit sur le site ? Un personnage de l’un de ces films, peut-être ??
    Cher Michel, si vous nous lisez, continuez à vous détendre en nous écoutant lire ; et moi, j’avais déjà prévu de passer une bonne soirée devant votre film lundi soir – échange des bons procédés !😃

  26. Cher Bruant, votre analyse de ce texte me semble très pertinente et profonde, je n’avais pas pensé à tous ces aspects psychologiques sur le traumatisme. On sait pourquoi on lit quand on est écouté comme cela ! J’espère obtenir l’autorisation de lire une autre nouvelle du même recueil, qui est très réussie et à plusieurs niveaux d’interprétation également.
    J’aime beaucoup les textes où le fantastique vient juste perturber la réalité et apporter un peu de rêve, d’inquiétude, pour révéler une vérité cachée. HG Wells le fait aussi très bien. Merci de votre fidélité, je retourne très vite au micro !

  27. Encore une belle lecture que vous nous avez proposée là, Bruant ! Comme Ribambelle, il m’a semblé que l’histoire s’étire et accumule les rebondissements de manière un peu artificielle – je me suis même demandée si la publication avait été faite en feuilleton, pour avoir tant de retournements de situation ! – une fois que l’histoire n’est plus centrée sur le château. Votre lecture n’est pas en cause, bien au contraire c’est grâce à vous que je suis allée au bout, et j’ai maintenant envie de découvrir d’autres romans de Radcliffe, c’est dire !

  28. Bonjour Agnès ,
    Nous ne pouvons publier sur le site que des auteurs
     “tombés” dans le domaine public, ce qui correspond en France à 70 ans révolus après leur décès. Les romans de Martin du Gard seront donc libres de droit à partir du 1er janvier 2029… un peu de patience, donc, mais je suis bien sûre que des DDV s’en empareront ! D’icI là, vous avez le temps d’écouter les plus de 8000 livres Audio disponibles, pour des heures – des années même ! – d’écoute et de découvertes !
    Bonne écoute ! 😃

  29. Cher Sautillant, chère Bruissement, merci de vos chaleureux messages. Ils constituent une fière récompense pour le temps passé à lire, corriger , chercher l’accord parfait entre musique et texte….
    La préface du recueil indique que ce texte est la première nouvelle publiée par Charlotte Perkins Gilman, et l’on y retrouve quelques points communs avec Le Papier peint jaune, il me semble. J’ai été bien contente de pouvoir lire la traduction de Virginie Wallbrou, car la première partie est écrite dans un vieil anglais qui m’aurait donné du fil à retordre, et je ne m’y serais sans doute pas risquée.
    Votre analyse est très juste, Sautillant : évocation, suggestion, rien n’est tout à fait explicité et pourtant le drame est deviné, compris, et l’impression laissée sur ces trois jeunes couples sans doute gravée à jamais. Merci encore de votre soutien sans faille !

  30. Merci de votre retour, verotarn. Jean Balde a écrit d’autres romans, qui intéresseront peut-être d’autres DDV pour nous permettre de mieux connaître cette écrivaine oubliée – pour ma part, j’ai beaucoup aimé celui-ci, mais je ne me sens pas capable de me replonger de sitôt dans une lecture aussi longue !

  31. Après Monsieur, j’ai donc écouté Madame Malot, et me suis laissée porter par votre belle voix dans ce court texte mélancolique. J’espère que nous aurons le plaisir de vous écouter bientôt dans des textes plus longs.

  32. Cher Christian, votre Anie m’a tenue compagnie ces derniers semaines de vacances. Votre lecture est toujours impeccable, et l’accompagnement musical discret mais parfaitement choisi pour rentrer dans l’atmosphère du texte.
    Sans doute du fait de ce moment particulier pour moi, j’ai été particulièrement touchée par le personnage du père et son amour pour sa fille, qui transparaît dans tous ses actes. Il me semble qu’au delà du respect et de la loyauté vis à vis des volontés de son frère, c’est ce qui le guide jusqu’à la fin du roman. Je me rends compte que je ne connaissais pas vraiment Hector Malot, et vais me pencher sur les autres lectures disponibles. Merci infiniment !

  33. Le choix d’un accompagnement musical en accord avec ce que je ressens de l’ambiance du texte est toujours un choix délicat et ô combien personnel, qui ne fait pas toujours l’unanimité parmi les audio-lecteurs/lectrices. Vous me faites infiniment plaisir, donc, en y ayant été sensible ! Merci beaucoup, et j’espère effectivement vous retrouver sur une autre lecture.

  34. Cher Vincent, merci de cette découverte ! Une nouvelle fantastique, c’est un genre qui vous va bien à la voix ! N’auriez vous pas envie de partager d’autres lectures de cet auteur ?

  35. Chère Pauline, merci infiniment pour votre retour ! Oui, Jean Balde / Jeanne Alleman est tombée dans l’oubli, ce roman fait pourtant preuve d’une grande finesse d’écriture et d’analyse des personnages, je l’aime beaucoup et suis enchantée d’avoir réussi à faire partager mon enthousiasme.
    Odette était sans doute, au début du XXè siècle, un prénom très courant pour une jeune femme ! Je ne crois pas qu’il faille y voir un hommage discret à Proust… Quant à Eugénie Grandet, il faudra que je m’y replonge, je n’en ai qu’un souvenir lointain… 🙁 Je vois que Pomme en a fait la lecture, je vais peut-être me laisser tenter, pour l’été !

  36. Cher Bruant, j’ai beaucoup aimé votre lecture de ce roman, votre capacité à prendre la voix d’Yvonne sans que cela ne semble forcé, et l’accompagnement musical qui fait entrer dans l’air du temps. Je me suis laissée emporter par votre voix, et ai été émue par ce beau personnage d’Yvonne, qui s’ouvre à la vie et évolue progressivement. Eugène Dabit m’était totalement inconnu, et j’ai bien envie à présent de découvrir ces autres œuvres. Peut-être vous laisseriez-vous tenter par une version 2 de L’Hotel du Nord ?

  37. Chère Lïat, je suis tout émue de votre cri du cœur ! Il ne pouvait mieux tomber pour me donner envie de me remettre à l’ouvrage.
    Quant à votre suggestion de lecture, sur laquelle rompampa a renchéri, elle me laisse un brin perplexe… Je n’ai rien contre les versions multiples, quant il s’agit de proposer une lecture d’un style différent, et j’aimerais beaucoup vous faire plaisir. Mais je dois vous avouer que je ne me sens vraiment pas à ma place dans cette lecture… 😕
    J’ai une autre histoire de fleurs en projet, une nouvelle de Charlotte Perkins Gilman, plus tragique et d’un tout autre style que la nouvelle de Silvestre, je ne sais si elle vous plaira. Car évidemment, la chute en sera moins amusante !
    Bonne fin de semaine à vous également, et merci encore de votre message🍓

  38. Cher Ahikar, je vous remercie de votre message. Le commentaire de Mauriac me paraît un brin dédaigneux (« livre honnête » ?? Est-ce là un compliment ???) mais reconnaît tout de même la belle écriture, la profondeur des sentiments et des personnages, je lui pardonne donc. 😃
    PS : J’ai bien reçu votre courriel, je vous répondrai directement – j’ai été très préoccupée ces dernières semaines et peu disponible, je vous prie de m’excuser.

  39. Merci de votre écoute, Bricolo. Je suis d’accord avec vous, par delà les détails et les modes de vie qui marquent un roman dans son temps, l’âme humaine reste fondamentalement inchangée, et les personnages de celui-ci ne sont pas si éloignés de nous…

  40. Merci à vous, Marie-Thé, d’avoir pris le temps de me faire un commentaire. Le micro est en veille en ce moment, mais bien sûr je reprendrai mes lectures plus tard, quand j’en aurai le loisir.
    J’en ai déjà publié quelques unes qui pourraient vous plaire – je me permets de vous conseiller particulièrement Les Confidences de femmes, lues avec deux autres DDV, d’une autre écrivaine oubliée, Annie de Pène. Ou La Fin de la jalousie, de Proust, une nouvelle émouvante à l’écriture ciselée, que j’avais publiée il y a plusieurs années.

  41. Votre message me comble, chère Christina, et rejoint celui d’Hervé : l’écriture de Jeanne Alleman aka Jean Balde décrit subtilement les scènes, les lieux, les personnages, et nous les rend présents malgré les 100 années qui nous séparent d’elle. Je suis heureuse de contribuer à la faire connaître.

  42. Merci, Hervé, de votre écoute et de votre message. C’est vrai que les descriptions des lieux, à Bordeaux comme dans la campagne girondine, sont très fines et sensibles. Elles m’ont donné l’impression en lisant de reconnaître les lieux, de m’y promener en suivant Paule et Gérard.

  43. Chère Bernie, vous m’avez fait bien rire 😃 ! L’annuaire serait, en fait, un bon exercice de diction pour se chauffer la voix ! Mais j’espère surtout avoir réussi à ne pas vous endormir, avec cette lecture…

  44. Jane Austen et Balzac, je n’y avais pas pensé, à vrai dire, en la lisant… Mais romantique, assurément ! En tout cas, je suis d’accord avec vous, Bruant, le roman est intéressant au delà de l’intrigue sentimentale, dans la description sans concession des caractères – de sa famille, de la bonne société bordelaise, des paysans qui rôdent autour d’elle. Seuls quelques-uns sont « sauvés », plus humains, plus sincères et compatissants.

  45. Merci à vous Lïat, Claryssandre, Bruant, pour vos messages qui me récompensent grandement du temps passé et me donnent envie de retourner devant le micro 🙏🥰
    Pour tout vous dire, j’ai démarré cette lecture au soir du 1er confinement… en mars 2020… la fleur au fusil, pensant que tout ce temps bloquée à la maison me serait ainsi profitable… Quelle naïveté, quel optimisme ! En fait il m’a fallu trois ans pour aboutir, après avoir mis de côté plusieurs fois les enregistrements pour d’autres lectures plus courtes, et avoir eu plus d’une fois l’impression de m’y noyer… L’envie de faire découvrir cette écrivaine et ce beau roman a été une motivation à ne pas abandonner malgré tout, ainsi que l’espoir que la lecture saurait plaire. Mais l’on ne m’y prendra plus de sitôt à me lancer dans un texte si long, je vais retourner à des textes plus courts, plus compatibles avec mon rythme et mes contraintes personnelles.

  46. Je plussoie 👍 au message de Claryssandre ! Bravo pour cette lecture – et la traduction ! – à deux voix, vive, alerte, drôle, fluide. Vous m’avez tenu compagnie pendant un très long voyage, que je n’ai pas vu passer grâce à vous.

  47. Merci beaucoup de votre message, Christina, j’espère que vous aimerez ce roman. Il m’arrive de prolonger le ménage plus que strictement nécessaire pour finir l’écoute d’un livre audio 😃. Mais il y a d’autres occasions de se plonger dans une lecture : une grande promenade en solitaire, les transports en commun, les nuits d’insomnie, les salles d’attente…

  48. Cher René-Pierre, je vous retrouve ici avec plaisir. Christian a fait le plus gros du travail, c’est d’abord à lui que doivent aller vos compliments. J’ai aimé prêter ma voix à Gertrude, qui s’ouvre au monde peu à peu. Merci de votre commentaire, et – grillant la politesse à Christian 😉 , qui je l’espère ne s’en offusquera pas – j’espère vous croiser à nouveau entre d’autres pages.

  49. René-Pierre, Abenne, vos deux messages me comblent de plaisir, me flattent et m’encouragent à poursuivre ! Les retours des audiolecteurs, tels que vous, sont les seules récompenses que nous puissions attendre, en tant que donneurs/donneuses de voix sur ce site ; ils me sont particulièrement précieux et rendent cette activité un peu moins solitaire. J’ai atteint mon objectif si je vous ai fait partager les émotions de ce roman et de son écriture subtile, qui m’ont portées pendant toute la lecture.

  50. Chère Lïat, quel plaisir que de lire votre message ! J’ai moi-aussi été séduite par le style et l’écriture de ce roman, particulièrement dans les descriptions des paysages et dans celle des sentiments qui animent Paule et Gérard. Et les portraits de la bourgeoisie bordelaise sont particulièrement piquants, n’est-ce pas ? Je vous souhaite une bonne écoute de la seconde partie. ☺️🍓

  51. Cher Ponsard, je suis touchée de savoir que ma voix vous a tenu compagnie pendant votre journée de travail. Les paysages des vignes vous auront mis dans l’ambiance, d’ailleurs je suppose que l’histoire aurait pu être transposée en Champagne.
    J’ai moi-même découvert l’existence de cette écrivaine par ses liens avec André Lafon, dont j’ai lu ici un roman et des poèmes. Peut-être que d’autres DDV auront envie de poursuivre l’exploration de ses romans…

  52. Merci Fabien ! 😊 J’espère que l’histoire et le style du roman vous plairont également.

  53. Une belle réussite, de la vignette à l’accompagnement musical en passant – et c’est là l’essentiel ! – par une lecture parfaite, qui attrape l’oreille et transporte jusqu’à la porte de cette chambre mystérieuse ! Merci de nous faire profiter de votre talent de lecteur, cher Bruant, et à très bientôt, je l’espère !

  54. Merci de cette charmante lecture.
    Puisqu’il s’agit de votre première lecture ici, je me permets de vous suggérer d’appliquer un léger filtre sur votre enregistrement pour en réduire le bruit de fond, cela rendrait l’écoute plus confortable, je pense.

  55. Je vous remercie très sincèrement de votre message, Jérôme. J’ai lu plusieurs nouvelles de Wells ici, et je suis d’accord avec vous, j’aime autant L’Œuf de cristal que celle-ci. Je crois que c’est parce que les personnages y sont particulièrement touchants et sincères, attirés par le monde différent qui leur est découvert miraculeusement.

  56. Merci beaucoup de ton retour, Vincent. En ce qui concerne l’image, la version initiale, de même inspiration, mettait plus clairement en évidence le portrait de Charlotte Perkins Gilman derrière le papier peint, il faudrait que je la retrouve dans mes archives. Je me rends compte que celle-ci a été modifiée (pas par moi, a priori) lors de la mise à jour du site, et ne correspond plus à la légende… Et je ne sais pas qui en est l’auteur.

  57. Merci de votre message, Bruant, j’ai moi aussi découvert cette autrice avec ce texte. Les autres textes de Charlotte Perkins Gilman que j’ai lus ici ne sont pas dans cette même veine fantastique, mais j’ai le projet de lecture d’une nouvelle qui le sera.
    Charlotte Perkins Gilman a expliqué la genèse de ce texte, inspiré de sa propre expérience d’enfermement à la suite d’une dépression post-partum. Mais elle en fait quelque chose de plus qu’un récit autobiographique, en insinuant de manière très fine, petit à petit, des éléments de la folie qui emporte le personnage principal. Jusqu’à la dernière phrase, qui a été l’objet de diverses interprétations contradictoires !

  58. Merci de cette lecture, chère Lyra, qui nous donne l’occasion de faire votre connaissance ! Cette histoire est comme un conte, et l’on craint le drame à chaque chapitre. L’illustration que vous avez choisie est très belle.

  59. 😬 je dois avouer que je n’ai qu’un très vague souvenir de cette lecture… si mon commentaire n’était là pour le prouver, je n’aurais pas même parié l’avoir écoutée… Vincent, votre lecture n’y est assurément pour rien, je m’engage ici à vous écouter une seconde fois ! 😉
    Mais, Sautillant, vous m’avez perdue quelque part au cours de vos sauts et gambades : est-ce Vincent que vous surnommez Wedley ???

  60. Cher Christian, chère Claryssandre, c’est moi qui vous remercie de vos commentaires, qui me motivent à poursuivre l’exploration et la traduction des nouvelles de Charlotte Perkins Gilman ! C’est aussi parce qu’elles sont courtes qu’elles me plaisent 😉, je ne pourrais me lancer dans la traduction de textes longs et de plus je suis une lectrice très lente (plus précisément, un correctrice très pointilleuse, car la lecture à proprement parler n’est pas ce qui m’occupe le plus…)
    Vous avez raison, Claryssandre, la fin est très moderne, et sans doute quasiment utopique en son temps ! Je me demande bien comment ces textes étaient perçus par les lectrices du journal – qui n’a pas dû avoir beaucoup de succès, car il n’a duré que quelques années.
    À bientôt, c’est promis, avec une lecture plus conséquente.

  61. Cher Sautillant,

    Merci de votre musical commentaire, je suis charmée que cette histori-ette vous a donné l’envie de chanter ! Le néologisme “chaumièrette” – traduction du “cottagette” du texte original – ne vous aura donc finalement pas trop ecorché les oreilles ?
    Ces petites nouvelles de Charlotte Perkins Gilman sont édifiantes, leur vocation est clairement affichée dans sa revue, et elles n’ont pas un grand intérêt littéraire sans doute. Je les aime bien tout de même, la mise en situation des personnages me parait toujours originale et bien menée. CPG s’y moque gentiment de ses héros et héroïnes, sans sarcasme, et elle semble les écrire avec un regard affectueux malgré leurs réticences à sortir du cadre social restrictif de leur temps.
    Quant à l’illustration, je vous détrompe, il ne s’agit pas d’un collage, mais d’un dessin utilisant la technique des « fade-away girls » popularisée par Coles Philips dans ses couvertures de magazines, pour ce que j’en connais. Je les aime beaucoup, j’en ai toute une collection dans mon disque dur, et cherche les textes de CPG qui me donneront l’occasion de les proposer ! ☺️ Il y en a plusieurs qui auraient été dans le thème de cette nouvelle, mais celle-ci, je la trouve particulièrement réussie, je l’avais déjà envisagée pour une précédente lecture.
    Amicalement,
    Gaëlle 🍓

  62. Voilà un joli conte de saison. Merci pour vos lectures et vos choix toujours intéressants, cher Christian, et au plaisir de vous retrouver entre d’autres pages, comme vous dites !

  63. Merci de votre confiance, chère Claryssandre ! Belle et joyeuse fin d’année à vous également 🎄🤶

  64. Merci de votre commentaire, Vincent, je suis ravie de vous avoir fait découvrir ce petit texte. Quant à Borges, c’est une faille dans ma culture, car je ne l’ai jamais lu !

  65. Cher Sautillant, vous avez sans doute raison, cette nouvelle aurait pu être lue sur un ton plus léger – mais Vincent, lui, en apprécie la sobriété, c’est donc la quadrature du cercle !
    À vrai dire, dans le moment de la lecture, je ne cherche pas vraiment le ton, cela vient avec l’humeur du moment et le texte. Mais j’ai eu effectivement envie d’une musique d’accompagnement plus badine, et moqueuse, j’espère que vous l’aurez remarquée ! 😉

  66. Cher Christian, j’avais manqué la publication de la dernière partie de vos Illusions Perdues ! Je télécharge donc, voilà qui va occuper les soirées froides de l’hiver !

  67. Quelle formidable, effroyable histoire ! Jusqu’à la fin, j’ai espéré que le titre soit trompeur ! Votre lecture sobre, et qui rend pourtant toute l’intensité de ce drame, est impeccable. Bravo, chère Pauline, et merci. Cela me donne bien envie d’aller voir d’autres écrits de Charles Le Goffic.

  68. Merci infiniment, cher Vincent, je suis particulièrement fière que la traduction vous plaise, vous qui en faites régulièrement ! ☺️🙏
    À vrai dire, le style de Charlotte Perkins Gilman, dans ces nouvelles écrites sans doute rapidement pour être publiées dans son magazine, n’est pas très recherché et un peu répétitif dans la forme. J’ai donc pris quelques libertés avec le texte pour le moderniser, le rendre plus fluide et compréhensible à l’oreille, sans en changer le sens évidemment. C’est un plaisir de la traduction que j’ai découvert grâce à L.A. que de de chercher le mot ou l’expression qui sonnera juste, en m’entendant lire tout en l’écrivant. Et d’y caser, tels des clins d’œil à moi-seule adressés, quelque tournure de phrase personnelle ou un adverbe qui a ma préférence, et qui me rendront le texte plus naturel à lire !
    Votre message me motive pour mettre la dernière main à la traduction de la dernière nouvelle que j’avais entamée il y a plus d’un an, et qui ne mérite qu’un dernier petit polissage avant de pouvoir être lue ! Je m’y remets ce week-end ! 😇

  69. L’allusion à Proust dans le billet, la toute dernière de vos lectures… il ne m’en fallait pas plus pour écouter sans plus tarder ce conte charmant ! Merci, cher Christian, je n’ai pas été déçue ! Il est touchant de réaliser que les émotions d’un jeune garçon de 10 ans épris secrètement d’une brunette sont intemporelles : autres temps, autres moeurs… mêmes sentiments, devrait-on ajouter…

  70. Cher Vincent, merci de ces longues heures passées en la compagnie de David et d’Alan. Je ne connaissais rien de ce roman de Stevenson, et j’ai pris beaucoup de plaisir à vous écouter lire les aventures de David, ce long périple initiatique qui le fait grandir et le rend plus ouvert aux autres. Bon nombre de références historiques m’ont échappé sans doute, mais qu’importe, je me suis laissée happer par ce vrai roman d’aventures ! L’épisode de l’île déserte m’a beaucoup amusée ! Merci encore du temps que vous consacrez à vos lectures, toujours de grande qualité. 👏

  71. Merci TLT, votre message tombe à pic pour me donner l’envie de me remettre à une lecture et lutter contre le découragement qui m’accable en ce moment… Devinant, à vos propres lectures, votre intérêt pour le fantastique, peut-être serez vous particulièrement intéressé par les lectures que j’ai faites par le passé de nouvelles d’HG Wells ?

  72. Merci beaucoup de votre si aimable message, chère Claryssandre, je suis ravie que ce texte touche des audiolecteurs autant que moi. Je l’ai trouvé dans un recueil de nouvelles de Le Braz différent de celui des précédentes lectures que j’avais proposées, vous me donnez envie de regarder les autres nouvelles de ce recueil plus précisément.

  73. Merci de votre écoute, Vincent, et de votre amical commentaire. J’ai moi-aussi aimé son écriture, et la façon de se mettre en scène avec un brin d’auto-dérision. Il me semble que, dans ses reportages, Annie de Pène a évolué et que l’enthousiasme patriotique initial, plein de naïveté, ne tient pas face à la réalité qu’elle découvre dans les tranchées, les villes dévastées, les morts.
    Ces reportages sur le front étaient exceptionnels à l’époque , je crois, et j’imagine que ces textes parus dans la presse ont marqué ses lecteurs.

  74. Je vous remercie, cher Sautillant, de votre écoute attentive de ce texte. Effectivement, je l’ai trouvé fort et émouvant, plus encore que les précédents que j’avais lus ici. J’ai été très touchée par la façon dont Le Braz décrit les personnages, les lieux, les paysages, et semble lui-même sincèrement ému. Mais la lecture des noms bretons m’a donné bien du fil à retordre, de même que la longue oraison funèbre de Nola Glaquin !
    Quant à l’illustration, je suis ravie qu’elle vous plaise, c’est une inspiration de dernière minute ! J’avais démarré en choisissant une peinture d’Henry Moret illustrant les flots et rochers d’Ouessant, pour finalement préférer mettre l’accent sur Marie-Ange.

  75. Cher Sautillant, pendant que vous y êtes, ne passez pas à côté des polars nordiques. Je vous conseille tout particulièrement Henning Mankell et Arnaldur Indridason, et j’y ajoute Jo Nesbo – des maîtres du genre à découvrir impérativement. 🍓

  76. Cher Jean-Pierre, vous me faites bien trop d’honneur en me confondant avec une comédienne professionnelle ! Vous m’avez en tout cas donné l’occasion de découvrir cette série d’émissions, que je m’empresse d’ajouter à ma liste de podcasts pour l’été.

  77. Cher Vincent, je vous ai fait confiance en écoutant ce roman – a priori pas ma tasse de thé, cette histoire de chasseurs et de gros ours 😉 – et je ne le regrette pas ! J’ai été emportée par l’histoire, écoutée d’une traite, craignant le pire pour Tyr et Muskwa. Merci beaucoup de m’avoir donné l’occasion de découvrir ce texte et cet auteur.

  78. Cher Vincent, j’ai complété l’arbre généalogique de la famille Haygarth, et j’ai ajouté comme convenu le lien pour le consulter au descriptif du billet. Quelle famille ! J’ai même l’impression que quelques personnages dont le destin n’est pas tout à fait connu auraient pu être le point de départ de romans futurs de Mme Braddon …

  79. Merci de ton retour, Vincent. J’ai le projet de traduire encore quelques autres textes de Charlotte Perkins Gilman, dans la même veine. Quant aux illustrations, je suis tombée en admiration devant la série des couvertures de Coles Phillips, ses Fadeaway Girls, et j’ai téléchargé tout ce que j’ai pu trouver pour pouvoir les utiliser pour illustrer mes billets des lectures de Charlotte Perkins Gilman !

  80. Merci beaucoup de votre retour, Charlotte, cela nous est très précieux ! Je suis enchantée que cette lecture à deux voix vous ait plu.

  81. Pour celles et ceux qui, comme moi, se sont passionnés par l’histoire de la famille Haygarth, je me permets de signaler que j’ai mis au propre un arbre généalogique de la famille à partir des éléments dans le roman, que je mets à disposition ici à toute fin utile ( lien ajouté dans le descriptif du billet) avec l’accord de Vincent et Christine.
    Mais si vous n’avez pas encore écouté ce livre, surtout ne le regardez pas, cela gâcherait une partie essentielle de l’intrigue !

  82. [🚨Spoiler ] Je crois que j’ai trouvé ! Charlotte est l’arrière-arrière-arrière petite-fille de Matthew Haygarth, de la branche issue de son premier mariage avec Molly Murchison, tandis que le révérend John est simplement le fils de ce même Matthew et de sa seconde femme Rebecca ! 😃

  83. Merci Christian ! J’ai moi-aussi été instantanément séduite par ce court texte, que je me suis empressée d’enregistrer quand Ahikar me l’a proposé ! Je bouillais d’impatience de ne pouvoir le publier ici plus tôt …

  84. Cher Vincent,
    J’ai beaucoup aimé ce roman qui, une fois passés les deux premiers livres de présentation des personnages un peu fastidieux, devient réellement captivant ! La quête de Valentin, la multitude des personnages qui prennent ainsi vie au long des années, tout ce que cela révèle de la société anglaise du 18ème siècle (tout particulièrement l’histoire de Molly et Matthew), cela est passionnant, et je n’ai pu vous quitter pendant cette semaine de vacances ! Je vais donc poursuivre avec L’Héritage …, car je suis impatiente de savoir quel mauvais coup prépare Paget, qu’a en tête ce machiavélique Philipp Sheldon, et si Diana trouvera elle-aussi le bonheur qu’elle mérite ! Merci donc de cette belle lecture que vous avez, comme à votre habitude, rendu vivante et si agréable à écouter !

    [ALERTE SPOILER] Par contre, j’ai perdu le fil de l’arbre généalogique qui lie le vénérable révérend intestat à Charlotte 😕. J’ai bien compris qu’il y avait un mariage secret entre Matthew et Molly, qui ont eu une fille, qui elle-même a eu un garçon … et que cela nous amène à la grand-mère maternelle de Charlotte … Mais quel est donc le lien de parenté avec le révérend ? Auriez-vous par hasard essayé de tracer cet arbre au cours de votre lecture, ou est-il accessible dans l’édition que vous avez lue ?

  85. Cher Jean-Pierre, vous connaissez certainement cette citation de Pascal qui dit, à peu de choses près, “Je n’ai pas le temps de faire court” … 😉

  86. Merci beaucoup de vos retours, Pomme et Lïat ! C’est un grand plaisir de pouvoir à nouveau partager des lectures sur le site, et d’échanger avec les audio-lecteurs/lectrices.

  87. Cher Christian,
    En sortant du film de Giannoli – que j’ai beaucoup aimé, une vraie réussite de film en costumes, jamais empesé, vivant et résonnant avec notre temps – j’ai eu envie de connaître le roman de Balzac que je n’avais jamais eu l’occasion de lire « avec les yeux ».
    Je crois que j’ai d’autant plus apprécié ce texte qu’il est lu par vous, avec votre voix qui fait si bien entendre le texte, et emporte dans l’histoire. Les personnages de Balzac ont pris les traits de ceux du film pour moi, et j’attends maintenant la suite pour savoir comment Balzac a raconté la vie parisienne du fougueux Lucien. Mais qu’avait-il donc contre Angoulême pour en faire une critique aussi sévère ?
    Merci beaucoup, donc, pour avoir réussi encore une très belle lecture – je mesure le temps, la patience, l’abnégation presque qu’il faut devant l’écran de l’ordinateur pour un résultat de cette qualité – pour le plus grand plaisir de vos auditeurs. J’espère que, comme moi, grâce à vous, nombreux seront à découvrir le roman.
    Bonne continuation et bon courage pour la préparation des tomes suivants !
    Gaëlle

  88. Lisbeh, je vous remercie de votre commentaire, je suis enchantée de voir que de nombreux audiolecteurs sont comme moi séduits par les textes d’Annie de Pène !
    Sautillant, je ne connaissais pas ce roman ni cet auteur, merci de cette suggestion – mais je crains qu’une vie ne me suffira pas pour lire tous les livres qui me tentent !

  89. Merci de votre retour, cher Sautillant ! Vous avez raison, je suis très touchée par Annie de Pène, depuis que j’ai « fait sa connaissance », c’est une autrice dont je me sens proche, et c’est sans doute ce que vous avez ressenti dans ma lecture. Les deux textes, Tranchées et Pervyse, m’ont particulièrement émue. J’ai prévu d’autres lectures d’elle, mais j’ai un autre chantier en cours qui m’occupe bien …

  90. Merci de votre message, Gilbert, je suis très contente de savoir que les textes d’Annie de Pène intéressent les lecteurs, car je me suis moi-même attachée à cette écrivaine depuis que je l’ai découverte par hasard (il me semble bien grâce à une suggestion de lecture de Cocotte).
    Quant à vos propositions de lecture, seul le texte de René Benjamin pourrait être lu ici, les deux autres ne sont pas « assez morts » – si j’ose dire : les droits d’auteur s’appliquent encore, il faut attendre 70 ans après le décès de l’auteur (et de son traducteur) pour que ses textes tombent dans le domaine public. Alors, pour Genevoix et plus encore Jünger, il va nous falloir faire preuve de patience … et ce ne sera certainement pas moi qui vous les lirai !
    J’ai jeté un œil rapide à Gaspard, je dois vous avouer que je n’ai pas été très tentée, mais j’espère qu’un autre DDV prendra la balle au bond et vous l’offrira.
    Au plaisir de vous retrouver dans d’autres lectures !

  91. Chère Claryssandre, toujours fidèle dans votre enthousiasme ! Annie de Pène a écrit de nombreuses chroniques pendant la 1ère guerre mondiale sur la vie à l’arrière publiées régulièrement dans Le Matin, que je lirai également (mais patience … vous savez que je suis une lectrice peu prolifique …).
    Celles-ci, écrites au tout début de la guerre, m’ont paru particulièrement touchantes, elles traduisent un certain décalage entre l’illusion d’une guerre courte et facile, et la réalité des tranchées. La naïveté dont fait preuve Annie de Pène était sans doute celle d’une majorité de français a l’époque…

  92. Votre message, Stéphanie, m’émeut profondément. C’est la puissance des grands textes que de raviver en chacun un souvenir personnel, de sembler parler à chacun de nous intimement. J’espère que les mots de Wells, dans cette très belle nouvelle, peuvent contribuer un peu à vous mettre en paix avec ce souvenir douloureux Avec toute ma sympathie.

  93. Chère Stéphanie,
    Je suis ravie que les hasards de vos lectures sur Litterature Audio vous aient conduite jusqu’ici ! Ce fut un joli cadeau que m’avait fait Ahikar en me proposant ce texte, et je profite de votre commentaire pour l’en remercier encore. C’est le seul écrit par lui que j’ai lu (pour le moment

  94. Merci de votre commentaire, Caroline, j’en suis touchée. Je suis d’accord avec vous, l’écriture de Wells – et sa traduction – sont ici à leurs meilleurs.

  95. Merci, cher Sautillant ! Cette première lecture m’avait donné bien de la peine, je découvrais alors les outils techniques – je m’étais lancée la fleur au fusil, suite à une suggestion d’une rencontre de vacances, sans réellement mesurer ce dans quoi je mettais le doigt !! Ce texte de Le Braz choisi pour commencer est aussi le résultat d’une jolie coïncidence. Tout cela me la rend particulièrement chère.
    Le Braz a écrit quelques nouvelles qui frôlent avec le fantastique, vous en trouverez ici – parmi celles que j’ai lues, je me permets de vous suggérer Ceux de la Gorgone.

  96. Chère Isabelle, je vous retrouve donc ici ! Tel le furet, vous êtes passée par ici, et repasserez par là ! J’avais beaucoup aimé le souvenir de Rousseau que donne ce texte, par le regard d’une enfant attachante. Vous me donnez envie de chercher un autre texte d’Isabelle de Montolieu …

  97. D’une voix à l’autre, d’un auteur à l’autre … je suis ravie que votre promenade sur L.A. vous a conduit jusqu’à ces Confidences, Isabelle. Beaucoup de finesse et de subtilité dans ces textes, derrière la légèreté du ton et l’humour qui y transparaît souvent, je suis d’accord avec vous. Je lirai d’autres textes d’Annie de Pène dans les prochains mois, qui montrent une femme pleinement investie dans son époque, et déterminée, qui mérite de sortir de l’oubli.

  98. Cher Christian,
    J’étais certaine que vous sauriez admirablement rendre ce texte, dans sa noirceur et sa fascination pour la fournaise ! Un grand merci !
    Gaëlle

  99. Eh bien, Isabelle, il semble que vous ne vous lassez pas d’écouter les textes de Rod, l’un après l’autre ! Tant mieux, puisque cela vous a amené jusqu’à ”ma” Miss Topsy, et m’a donné le plaisir de votre commentaire.
    Merci, et bonne continuation sur L.A. – il va bientôt vous falloir passer à un autre auteur, car vous arrivez au bout de ce qui a été publié, je crois !

  100. Je crois pouvoir, au nom de toutes les trois, vous remercier bien chaleureusement, Christian et Yug, pour vos commentaires qui nous vont droit au cœur. Je vous souhaite que cette éclaircie, Yug, dure et que les prochains jours s’illuminent … si nos lectures peuvent y contribuer, nous serons largement récompensées du temps passé.

    @Sautillant : Esperiidae m’a convaincue, je vous pardonne donc votre immortelle qui guérit les bleus du cœur et de l’âme ! Et aussi parce qu’elle vous évoquait de beaux sentiments, dans cette langue poétique des fleurs – un brin désuète, mais finalement bien dans l’humeur de ces Confidences.

  101. Cher Sautillant,
    Je suis très touchée que cette lecture ait réussi à faire vibrer votre petite fleur bleue intérieure, au point de nous écouter une deuxième fois ! Mais quant à vos comparaisons botaniques … l’immortelle, n’est-ce pas cette fleur sans odeur et sans charme qui prend la poussière dans les bouquets secs abandonnés ??

  102. Merci bien à vous, Pauline, d’avoir pris le temps de nous écouter et de nous laisser un commentaire. Vous ne pouviez me faire plus plaisir, je crois en notant que texte, image et musique constituent un tout – je suis personnellement très attachée à ce qu’il n’y ait pas de ”fausse note”, et cette image nous a semblé destinée à cette lecture à trois voix.
    Quant à vous, Sautillant, je prends volontiers votre ”Lu et Approuvé”, malgré votre histoire de pigeon dont je ne sais que penser … Lard ou cochon?

  103. Cher Gilval, chère Pauline, chère Gaëlle,
    Soit je suis schizophrène et mène une double vie dont mon moi éveillé ignore tout … soit il y a au moins deux Gaëlle qui fréquentent occasionnellement ce site ! Ce ne serait somme toute pas si étonnant, puisque nous sommes plus de 45 000 en France … Que nous souriions toutes deux aux saillies de JP Baillot et Sautillant nous fait donc un autre point commun !

    Quant à moi, Gaëlle-qui-a-effectivement-lu-Annie-de-Pène, je n’ai pas eu l’occasion d’écouter Pauline, mais vous remercie, Gilval, de votre retour. Et suis bien marrie d’avoir fait preuve d’aussi peu d’originalité en choisissant benoîtement mon prénom de baptême pour m’identifier ici – que n’ai-je choisi un pseudo poétique, proustien, unique !
    Gaëlle, bien éveillée et aimant les

  104. Effectivement, Firad, c’est une histoire qui incite à la réflexion et à de multiples interprétations. Pour ma part, j’y verrais bien aussi le récit d’une Near Death Expérience dans celui de la première vision de la porte… mais n’en disons pas plus pour ne pas déflorer le texte !

  105. Cher Vincent, j’avais également écouté Vixen il y a quelques mois, plus léger dans le ton, et Le Secret de Lady Audley. Je crois que c’est celui-ci que j’ai préféré, même s’ils sont très réussis aussi. Je jetterai une oreille du côté des lectures de Cocotte et Daniel, merci du conseil, en attendant vos prochaines lectures.

  106. Une belle lecture, comme à votre habitude, cher Vincent, qui m’a accompagnée pendant plus de deux semaines, soir après soir. Encore une histoire comme sait si bien les raconter ME Braddon dont on comprend très vite les dessous, et qui pourtant réussit à maintenir l’intérêt jusqu’à la fin !
    Merci beaucoup du temps que vous consacrez pour partager ces longs romans, je ne les aurai sans doute jamais ouverts seule ; votre voix est maintenant attachée dans mon esprit à ces romans victoriens.

  107. J’aime beaucoup vos lectures de Conan Doyle, que j’ai maintenant épuisées … Quel dommage que vous ayez cessé de donner votre voix ici !

  108. Eh bien, souhaitons la bienvenue à Molly, qui rejoint la ménagerie de L.A ! La Molly de cette nouvelle ne manque pas d’esprit, effectivement, pour donner une petite leçon à son mari ! Charlotte Perkins Gilman a su, je trouve, construire une scènette qui donne vie à ses personnages, au-delà de son intention militante.
    Merci à vous, Amandine, et à vous aussi, Ahikar, pour vos retours, cela m’encourage à poursuivre l’exploration des nouvelles de cette autrice !

  109. Chère Claryssandre, cher Sautillant,
    Je vous remercie de vos commentaires sur cette lecture, et votre fidélité bienveillante à tous les deux. Je suis d’accord avec vous, c’est un texte qui fait penser à d’autres auteurs du début du XXè – je ne connais pas Larbaud, un de plus à ajouter à la liste de vos recommandations, Sautillant !

  110. Amusante, cette historiette ! Et lue avec le ton légèrement gouailleur qui convient ! Je rajoute donc Pergaud à ma liste des auteurs à écouter-lire… Merci bien pour cette découverte, cher Alain.

  111. J’ai été moi-aussi très intéressée par cette lecture, que l’accompagnement musical particulièrement bien choisi relève encore. Cela me donne d’en savoir plus sur cette femme de lettres. Bravo, et un grand merci !

  112. Merci, Jean. Ce sera un plaisir de vous retrouver sur une prochaine lecture – je crois bien que vous avez fait le tour de mes lectures de Wells, en tout cas !

  113. Tmor, si vous aimez Wells, vous allez être ravi, il y a de nombreuses lectures de lui sur L.A., par des DDV différents. Vous ne nous quitterez pas de sitôt !

  114. .Je vous remercie, chère Claryssandre, pour votre commentaire. Vous avez déterré l’une de mes premières lectures, je m’étais bien amusée avec ce texte et tous ces bruitages !

  115. Un grand merci à vous, Claryssandre et Lïat, pour vos retours. Je suis ravie que vous ayez franchi tous deux la porte avec moi !

  116. Merci beaucoup, Jean, pour ce lien vers cette scène de Men in Black dont je n’avais gardé aucun souvenir (il faut dire que je l’ai vu il y a bien longtemps …), et qui effectivement transmet le même émerveillement que l’antiquaire dans la nouvelle de Wells face au monde qui lui apparaît dans l’œuf.
    C’est amusant de voir que vous retrouvez, par la lecture, des images de films ! Comme quoi, vraiment, chaque lecteur lit un livre différent ! (Et recherchant une citation disant cela plus élégamment, je tombe sur cette phrase attribuée à Proust, que par gourmandise je ne peux me priver de partager ” En réalité, chaque lecteur est, quand il lit, le propre lecteur de soi-même.” : il me semble que cela vous convient particulièrement. )

  117. Je poursuis mon exploration des lectures de Milunisu – celle-ci est une jolie pépite, que je recommande pour les dimanches pluvieux (et confinés…) qui s’annoncent !

  118. Merci à vous, Jean, de prendre le temps de m’écrire votre satisfaction ! Au plaisir de vous retrouver sur d’autres textes.

  119. Je suis tombée un peu par hasard sur cette lecture de Milunisu, et ai passé un très bon moment à suivre les aventures un brin burlesques du héros. Milunisu a visiblement pris un grand plaisir à lire et ajouter des bruitages, et ce plaisir se transmet par les oreilles !
    Je vais de ce pas fouiner dans ses autres enregistrements, et regrette de l’écouter trop tard pour avoir l’occasion d’échanger avec lui.

  120. Merci, Sautillant Patrick, pour votre commentaire, c’est un plaisir supplémentaire pour moi que de donner l’occasion de découvrir des auteurs sur le site, et de – modestement- contribuer à sortir de l’oubli des auteurs qui ont encore une émotion à nous faire partager.

  121. Eh bien non, Wolmar, les œuvres de Borges sont bien loin d’être dans le domaine public, car il est décédé en 1986 – si la loi n’évolue pas d’ici là, il faudra donc attendre … 2056 pour pouvoir lire ses textes ici ! Autant dire que ce ne sera pas moi qui vous les offrirais …

  122. Merci, Brigitte, pour votre lecture toujours impeccable. La mise en place de l’histoire, dans les premiers chapitres, m’a paru un brin longuette, mais ensuite le roman décolle et devient vraiment intéressant.

  123. Cher Sautillant Patrick,
    Je vous remercie de me faire part avec un tel enthousiasme – évalué comme de bien entendu en comptant vos singes Tagada !

  124. Cher Sautillant Patrick,

    Je suis ravie que cette nouvelle du Serin … , d’un genre bien différent de la littérature fantastique dont vous êtes plutôt friand, vous ait plu. Je l’ai lue en pensant à un “bon vieux ami” suisse, dont je ne saurais jamais s’il l’a entendue avant de partir.

  125. Cher Sautillant,
    Je suis ravie que vous ayez aimé La Princesse de Clèves, et assez fière d’être à l’origine de cette découverte !

  126. Bonjour Sautillant,
    J’ai vérifié, la traduction que j’ai lue, de Davray et Kozakiewicz, a été publiée en 1914. C’est donc bien de la première version qu’il s’agit. J’ai fait quelques recherches au sujet de cette seconde version, que l’on trouve effectivement en version originale, et qui modifie sensiblement la fin du texte. Je n’en ai pas trouvé de traduction en français, par contre… Ainsi Wells a hésité sur le sens qu’il voulait donner à cette histoire.
    Amicalement,
    Gaëlle

  127. Sautillant,
    Je ne sais qui recevra votre paquet Rue Gracieuse, mais assurément ce ne sera pas moi

  128. Cher Sautillant, mais quel autre mot que “cinématographique” pour dire que la scène semble apparaître et se présenter sous nos yeux en lisant le texte tel un travelling de cinéma ? Il vous faut me proposer un synonyme plus adéquat, car là, je n’en ai pas sur le bout de la langue !

  129. Cher Sautillant,
    Un message comme le votre, c’est tout à la fois un bouquet de roses parfumées, une coupe de champagne frais , un arc-en-ciel dans un grand ciel bleu et un paquet de fraises Tagada que vous déposez sur le pas de ma porte ! Me voilà revitaminée pour au moins une semaine, surmotivée pour avancer ma prochaine lecture, plus que récompensée du temps passé et des moments de doute traversés ! Je vous remercie bien chaleureusement de tous ces éloges, dont je rougis de plaisir ! Quel bonheur que d’être écoutée de la sorte !!

    J’ai écouté des extraits de la fiction réalisée pour France Culture, si c’est à elle que vous pensez, pendant que je préparais cette lecture – mais je dois dire que la comparaison m’a fait très peur et je n’ai pas poursuivi, car il s’agit de vrais comédiens tandis que je ne fais que suivre le texte. Et non, je n’ai jamais fait de radio, et ce n’est pas dans mes projets

  130. Chère Brigitte,
    Etant finalement arrivée au bout de l’écoute, je me permets de vous signaler, car cela est trop inhabituel pour ne pas être un oubli de votre part, qu’il reste au début du chapitre 7 quelques répétitions quand vous accrochez quelques mots (et une toute petite vers la fin du chapitre 22, je crois, quand le proviseur entre en salle pour la remise des prix).
    Ce n’est bien sûr pas grand-chose, et est plutôt touchant, cela vous rend de fait plus humaine !
    Avez-vous l’intention de lire la suite de ces mémoires ?

  131. Merci pour votre commentaire, Thierry.
    C’est vrai que la numérotation des chapitres nous a posé problème, à Christine et à moi-même. Je voulais garder la structure choisie par Bernanos en plusieurs parties, et certains chapitres étaient trop longs pour un seul fichier, je les ai donc subdivisés … Peut-être que la solution choisie n’était pas la meilleure, finalement.
    L’histoire est déjà assez tortueuse sans ajouter le désordre des chapitres ! J’espère que vous avez tout de même réussi à l’écouter dans l’ordre et à en saisir l’intrigue.

  132. Chère Brigitte84,
    C’est un vrai plaisir de retrouver votre belle voix ! Je ne suis encore que dans les premiers chapitres, mais je n’attends plus pour vous remercier de me faire connaître ce roman, et de faire entrer un nouveau auteur dans L.A.
    Et permettez-moi de faire part d’une expérience toute personnelle : il me replonge dans ma propre lecture du roman d’André Lafon L’Elève Gilles, dont les images se mélangent dans mon esprit à votre Albert Besnard …

  133. Merci beaucoup pour votre commentaire, Alain & Annabelle.
    C’est une très bonne idée que cette bibliothèque pour camping-caristes, et je suis fière d’en être – et plus d’une fois, même 😀 !
    En tout cas, avec LA, vous avez de quoi passez encore de très nombreuses heures confinés dans votre camping-car, soyez sans crainte ! Au dernier comptage, il y a plus de 20 000 heures de lecture sur le site – soit plus de 800 jours de lecture en continu !!!

  134. Jolie, en effet, Claryssandre ! J’aurais peut-être dû choisir un air de flûte, finalement, pour l’accompagnement musical … ♫♪

  135. Merci, Pascalette, d’avoir pris le temps de me faire un retour sur cette lecture, je suis récompensée du temps passé – ces heures me paraissent plus légères, avec la distance – par tous les commentaires laissés par les audiolecteurs !
    Jean-Marc, j’avais demandé à notre administratrice Christine de modifier un fichier, peut-être êtes-vous tombé pile au mauvais moment ! En tout cas, il me semble que tout fonctionne, ce soir.

  136. Remarquable !!
    Je poursuis mon exploration de vos lectures sur LA, ne vais pouvoir vous en faire le compliment à chaque fois au risque de vous lasser et de me voir accuser de flagornerie, mais je ne peux retenir mon enthousiasme sur celle-ci !

  137. Bravo pour cette très belle lecture ! Votre voix, par son rythme et sa mélodie, et votre accompagnement musical transmettent l’émotion du texte et m’ont transportée près du feu, dans la nuit, avec ces deux femmes et cet étudiant ! Votre talent est admirable, merci d’en faire profiter si généreusement les audiolecteurs de L.A. !

  138. Je vous remercie, Christian, de me permettre de découvrir ces chroniques de Mirbeau. Vous rendez admirablement, par votre lecture, tout à la fois la passion et les emportements du journaliste contre la sottise de ses contemporains.

  139. Il est bien vrai qu’André Lafon est disparu très jeune, et que les quelques textes qu’il a laissés nous font regretter tous ceux qu’il n’a pas écrits … Si vous avez été séduit par ce roman, ses Poèmes Provinciaux, lus avec Christian Dousset, pourraient également vous plaire, Le Barbon.

  140. Très chère Bruissement, vous avez parfaitement compris ce que j’essaie de faire, même si je n’aurais pas su le décrire aussi clairement !
    Jean-Pierre, je vous sais un audiolecteur exigeant, votre compliment m’est donc particulièrement précieux.
    Merci bien à tous les deux d’avoir pris le temps de me faire ces retours, qui me vont droit au cœur et me récompensent des efforts fournis pour cette lecture.

  141. Merci beaucoup, Pascalette, pour votre retour ! Cela a été un vrai plaisir de participer à cette lecture, et un beau cadeau de la part de Georje que de me proposer le personnage de Passuk, femme forte et émouvante s’il en est !

  142. Votre commentaire, cher Christian, m’émeut et me touche au plus haut point ; derrière chacun de vos mots se glisse un magnifique compliment ! C’est Noël avant l’heure que de le découvrir ce soir ! Je suis bien récompensée du temps passé, avec des auditeurs tels que vous, et je m’empresse de me remettre à ma prochaine lecture, en espérant qu’elle ne vous décevra pas.
    Merci mille fois, et joyeuses fêtes de fin d’année !

  143. Bravo pour ce travail titanesque et de très grande qualité !
    Mais, si je puis me permettre une remarque anodine : je n’aurais pas qualifié “Guerre et Paix”, avec ses plus de 1000 pages … de “Nouvelle” – quand bien même le temps passe si vite à vous écouter ! 😉

  144. Merci pour ce joli moment passé en votre compagnie, ce roman épistolaire est particulièrement piquant ! Une plongée savoureuse dans les petits secrets de cette noblesse russe soucieuse du qu’en dira-t-on, que ces archives !

  145. Chère Cocotte, je vous remercie de tout mon cœur pour votre message ! C’est par vous que j’ai découvert tout à la fois René Bazin et le recueil de textes dont est extrait Madame Dor, vous avez donc une part dans cette lecture, et j’en suis d’autant plus enchantée si elle vous a plu !

  146. Votre commentaire me comble de joie, cher Georje ! Ce texte m’a particulièrement touché, et j’ai fait de mon mieux pour en transmettre l’atmosphère. J’ai dans ma famille de ces femmes de Bretagne qui ont attendu au port le retour des pêcheurs, et sans doute cela m’a inspirée …

  147. Je dois admettre que j’ai été un peu décontenancée par la première partie. Mais quel deuxième chapitre ! Passionnant, émouvant, surprenant …. Merci de cette belle lecture.

  148. Je me régale à vous écouter lire ces contes délicieux, cruels ou tendres ! Merci d’y avoir mis tant de talent, de malice aussi, dans une lecture qui rend non seulement le texte mais également son esprit !

  149. Merci encore une fois, Bernard, pour cette lecture fascinante ! J’avais déjà beaucoup aimé ‘un hivernage dans les glaces’ et ‘les forceurs de blocus’. J’espère que vous continuerez à proposer des lectures sur ce site.

  150. Après avoir écouté Marie-Claire, j’ai beaucoup aimé ce deuxième roman – peut-être même plus que le premier – qui décrit de manière très touchante la vie de ces ouvrières à Paris. Je vous remercie de votre belle lecture, votre voix chaude et pleine d’empathie pour vos personnages était parfaitement adaptée à ce texte.

  151. Merci pour cette lecture qui m’a permis de découvrir cette écrivaine. Je m’en vais de ce pas écouter la suite.

  152. Che Christian, votre lecture passionnée, en particulier quand Aben-Hamet visite avec Bianca l’Alhambra, est une véritable invitation au voyage ! Je vous remercie de m’avoir fait découvrir ainsi ce texte, et je me dis que je n’aurai su l’apprécier autant en lisant simplement le texte.

  153. Un grand MERCI,Pauline, pour avoir posé votre voix merveilleuse sur ces textes que je découvre grâce à vous ! Je rejoins Robeb (dans son premier commentaire, ayant perdu par la suite le fil du poisson rouge

  154. Merci à vous, surtout, Vincent et Karim – les retours des audiolecteurs et audiolectrices me sont précieux pour continuer

  155. Je viens de trouver celle-ci ! Tout à fait charmante ! 😉 je cherche encore …

  156. Bravo pour cette belle lecture à deux voix, qui convient tout particulièrement à ce texte. On en redemande !

  157. Merci pour votre fidélité, Claryssandre. Je ne suis effectivement pas très prolifique, d’une part du fait de mon activité professionnelle prenante et d’autre part parce que je passe du temps sur le montage et le nettoyage de chaque lecture… Cela me désole aussi, mais j’espère être en mesure de proposer une autre lecture dans le cours de l’été : le micro est sorti, le texte est choisi … y’a plus qu’à !

  158. Cher Georje, je vous remercie du fond du cœur pour votre commentaire élogieux. J’aime beaucoup ce texte également, et je suis enchantée de savoir que ma lecture vous a permis de vagabonder par l’esprit dans le monde mystérieux de l’oeuf de cristal !
    Puisque vous avez aimé cette nouvelle, vous serez sans doute content d’apprendre que je mets la dernière main à une autre nouvelle de Wells que j’espère proposer d’ici deux-trois semaines.

  159. Chère Nadia, merci pour ce commentaire qui me va droit au cœur ! Cette lecture, plus longue que tout ce que j’avais entrepris jusqu’à lors, m’a bien occupée, et je suis comblée si le résultat plait !

  160. Merci de votre confiance, Christiane, j’espère que vous aurez été séduite par ces textes. Amitiés.

  161. Je vous remercie, Marjolaine, de votre retour sur ce texte. Puisque vous avez aimé Lafon, sachez que bientôt devraient paraître sur ce site ses Poèmes Provinciaux, qui sont également très touchants.

  162. Cher Vincent, je viens d’écouter – pour la deuxième fois … – cette nouvelle mélancolique de James, avec un plaisir renouvelé. Merci pour ce moment (si l’on peut encore utiliser cette formulation au sens premier ;-)) en votre compagnie.

  163. Une lecture talentueuse, magistrale et passionnante, quasiment cinématographique avec les bruitages et l’ambiance musicale ! Mais quand reviendrez-vous sur LA, M. Fisher ??

  164. Un grand merci, Bruissement, pour votre commentaire amical et généreux. Je crois que le doute est dans mon tempérament, je suis une éternelle insatisfaite : “je doute donc je suis”, me dis-je souvent…

  165. Merci à vous, Lyse et Francis, pour vos commentaires qui me rassurent, car j’ai beaucoup douté en préparant cette lecture et je craignais desservir ce roman et ne pas donner envie de l’ecouter jusqu’au bout…

  166. Cher Marco, merci de votre retour et de votre fidélité, c’est très encourageant et me récompense du temps passé ! La comparaison avec MM Dousset et Baillot me flatte d’autant plus que je suis moi-même très admirative de leurs lectures. Mais il est heureux que des DDV plus prolifiques, comme Daniel, contribuent au site, qui serait bien pauvre en contenu avec des lectrices aussi lentes que moi !
    Belle fin d’annee à vous deux également, et j’espere que la prochaine nous donnera l’occasion de nous retrouver sur ce site !

  167. Merci pour cette lecture magistrale ! Votre voix rend incroyablement intense ce texte, et l’accompagnement musical renforce encore la dramaturgie. Bravo, vous êtes décidément, cher Vincent, un DDV d’exception à tout point de vue.

  168. J’ai beaucoup aimé ces deux textes de T. Combe que vous avez lus, et que je ne connaissais pas – celui-ci tout particulièrement. La musique que vous avez choisie accompagne parfaitement votre belle lecture, pleine d’émotion. Merci d’offrir ainsi votre voix et votre temps.

  169. Merci, Romain, vous me faites rougir de plaisir ! Je me lance effectivement dans des lectures un peu plus longues, en profitant du temps libre des vacances.

  170. J’ai passé un très bon moment en votre compagnie, Christine, et votre talent pour passer d’une voix à l’autre (le général est particulièrement savoureux ;-)) est incomparable !
    Je me permets toutefois de vous signaler que j’ai remarqué une répétition sans doute involontaire, quelque part dans l’acte 2, en scène 8 je crois (le moment où Viviane sort de scène ?).

  171. Chère Bruissement, votre retour m’encourage à poursuivre, alors que je peine sur la deuxième partie de ces lettres ! L’affection de Marie Sklodowska-Curie pour sa terre d’origine y est bien sensible, et très émouvante.

  172. Cher Christian, je ne suis jamais déçue par vos choix de textes et par vos lectures !
    Je vais assurément poursuivre l’écoute de ces Contes Étranges proposées sur le site, et que je découvre depuis peu.
    Gaëlle

  173. Je vous remercie bien, chère Pomme, pour cette belle lecture découverte un peu par hasard. C’est un texte très touchant et une belle écriture, qui transmet l’émotion avec simplicité. Cela me donne envie d’écouter les autres textes de cette auteure.
    Par contre, je vous signale que je n’ai pas réussi à accéder à la seconde partie depuis la page de votre billet, il m’a fallu fouiner sur le serveur pour la récupérer. Je ne comprends pas si c’est un problème particulier de connexion de mon ordinateur, ou un problème plus général que d’autres pourraient avoir.
    Amicalement,
    Gaëlle

  174. Merci pour ces charmants contes. Avez-vous publié une seconde sélection ? Je ne l’ai pas trouvée.

  175. Merci pour cette lecture – j’avais envisagé plusieurs dénouements, mais pas celui-là !

  176. Quelle histoire ! Et quelle lecture !
    Cher Christian, j’étais au tribunal, à l’échafaud, révoltée aux côtés de Daubenton dans son combat pour la réhabilitation – bref, votre voix m’a emportée ! Et le choix de la musique introductive met tout à fait dans l’ambiance. Un grand bravo !

  177. Cher Christian,
    J’ai poursuivi mes écoutes du week-end avec ce texte, et j’ai été émue par votre vieux peintre florentin à qui vous avez su donné vie.
    Merci encore pour la qualité de vos lectures et de vos enregistrements.
    GaëLL

  178. Merci pour cette lecture que votre voix et votre ton rendent particulièrement vivante et savoureuse. Je n’avais jamais lu cet auteur, j’ai maintenant envie de vous écouter avec Les Gardiennes.

  179. Bonjour Patrick Jouannès,

    Les livres audio apparaissent sur le site au fur et à mesure de leur publication, sur chaque page après les deux “découvertes” qui sont deux publications plus anciennes.

    Bonne écoute,
    GaëLL

  180. Belle, terrible et stupéfiante – je m’inscris totalement dans les mots de Patty et Régis (dont le récent commentaire m’avait donné envie de vous écouter).
    Mais je vois, cher Vincent, que vous n’avez pas tenu vos promesses : une seule autre nouvelle de Bierce sur LA ? 😉 Peut-on espérer une autre lecture dans les prochains mois ?
    Un grand merci, en tout cas, pour cette très belle lecture.

  181. Le texte et votre voix, par le rythme et l’intonation choisis, sont si parfaitement et intimement liés que l’émotion à votre écoute en est démultipliée.
    Je ne peux, comme Alain bien avant moi, qu’espérer que vous aurez l’occasion de lire d’autres nouvelles de cette auteure, quand vos autres projets vous en laisseront le loisir.

  182. Merci ceusette, merci Ahikar pour vos commentaires – je ne connaissais pas cette recette !
    Votre commentaire ayant piqué ma curiosité, je peux maintenant vous rassurer : l’Histoire et la Science ont bel et bien répondu ! Louis Lapicque aurait en effet publié, dans les Compte-Rendus de l’Académie des Sciences (CCXII – 1941) un article décrivant la possibilité d’utiliser les laminaires pour “nourrir chevaux, bétail et volaille” de manière équivalente à l’avoine ! Il est cependant nécessaire de les déminéraliser avant usage, mais M. Lapicque a également montré qu’il était possible d’effectuer ce traitement “de manière rustique et peu coûteuse près des lieux de récolte”. Pour rendre à César…, ces information sont issues de l’article de M. Lami daté de 1941, et publié dans La Revue de Botanique Appliquée et d’Agriculture Tropicale (http://www.persee.fr/doc/jatba_0370-3681_1941_num_21_243_1656), car je n’ai pas réussi à trouver le compte-rendu rédigé par Lapicque…
    N’est-ce pas merveilleux d’avoir ainsi accès à portée de clics de tant de réponses aux questions les plus incongrues ? J’en suis, pour ma part, réjouie ! 😉

  183. Merci de m’avoir donné l’occasion de découvrir ce texte, votre belle voix rend très vivant chacun des personnages, et vous savez en jouer à merveille. L’histoire est troublante, et je n’arrive pas à savoir si elle me plait. Vous avez bien raison de noter qu’elle n’est peut-être pas aussi datée qu’on pourrait le souhaiter…

  184. Merci Alain et Jean-Pierre pour vos conseils touristiques ! La Sicile est sur ma “to-do” liste depuis longtemps, et vous me tentez. LA pourrait monter également une agence de voyages littéraires 😉 …

  185. Témoignage intéressant même si l’écriture de Renan a vieilli, à mon goût, et qui donne envie d’aller voir par soi-même.

  186. Un tel texte, et une lecture si forte et émouvante à la fois, méritent que l’on économise les superlatifs : je ne dirais alors seulement que MAGNIFIQUE ! Avec toute mon admiration pour votre talent.

  187. Votre lecture m’a ravie, et l’accompagnement musical est particulièrement bien choisi. Quelle histoire !

  188. Pardon, Brigitte, pour ce précédent commentaire vide – mon enthousiasme à ces lectures que j’écoute depuis le site m’a conduit malencontreusement a envoyé ce message que je n’ai su supprimer :-< Arrivée à la fin, je ne sais quel conte je préfère...

  189. Je joins mes compliments à ceux de Jacqueline pour la clarté et le charme de votre voix, qui me rappelle effectivement les lectures de Victoria. Votre talent de lectrice est de cette même veine, assurément !

  190. Jean-Michel et Candice, vos commentaires me comblent de joie ! L’accompagnement sonore (musique et bruitage) de mes lectures représente le plus gros travail, et me fait toujours douter. Vous ne pouviez me faire plus plaisir que par votre retour !

  191. Vincent, je suis ravie de vous avoir donné l’occasion de découvrir cette histoire que j’ai beaucoup aimée lire et partager ici.
    Curieusement, vous n’êtes pas le premier à me dire que ma voix convient bien à ce genre de texte, ce qui ne manque pas de m’interroger … 😉

  192. Merci pour m’avoir donné l’occasion de découvrir ce roman, le personnage d’Ourika est sensible et touchant, et l’histoire semble particulièrement moderne pour l’époque à laquelle elle a été écrite.

  193. Merci pour cette lecture, qui m’a donné l’occasion de découvrir cette écrivaine. Ce mari est bien ennuyeux pour une jeune femme vive comme Mrs Henley ! Il reste quelques répétitions dans l’enregistrement, c’est un peu dommage toutefois.

  194. Quelle lectrice était Victoria ! Une très grande dame de L.A., indéniablement. Sa voix fait passer tous les sentiments, toutes les émotions, d’une manière subtile. Une alchimie unique du timbre et de l’intonation.

  195. Merci pour votre retour, Gregos. Le choix et l’ajustement des musiques d’accompagnement sont toujours délicats, et particulièrement subjectifs. Je suis ravie que vous les ayez jugé adéquats.

  196. Merci Natacha, merci Elizabeth pour vos commentaires si chaleureux ! Jane Austen rend effectivement très bien cette Lady Susan, terriblement séduisante et manipulatrice.
    Je ne connais pas, pour ma part, Elizabeth Von Arnim, et vais de ce pas tâcher d’en savoir plus – j’ai toutefois l’impression que les traductions disponibles ne sont pas libres de droit. Un nouveau projet pour Vincent ?

  197. Mille mercis en retour, Nadia, pour ce commentaire chaleureux qui me va droit au cœur, et me récompense des heures passées sur le texte et son accompagnement musical !

  198. Je joins ma voix à celle de Vincent pour vous remercier de vos retours encourageants, et me réjouis que le résultat vous a plu. Cela a été une belle expérience pour moi de me couler dans les mots de Vincent pour donner corps (et voix!) à Mrs Vernon !

  199. Cher Vincent, quel plaisir de vous écouter dans cette histoire, à la fois drôle et cruelle pour ces dames du Lunch Club, et dont vous rendez si bien le ton ! Et plaisir démultiplié en réalisant qu’il me reste encore de nombreuses heures pour vous écouter lire Edith Warthon…

  200. Merci pour ce bon moment ! Vincent de l’Epine fait ici encore un Lupin très séduisant et crédible – ces amis devraient s’en inquiéter 😉 !

  201. Le plaisir que vous avez visiblement pris à jouer ce Molière est communicatif ! Merci à toute l’équipe.

  202. Quel plaisir, cher Vincent, de découvrir en vous écoutant ces romans de Trollope – auteur que je ne connaissais pas. Votre lecture allie précision et chaleur, clarté et émotion, un véritable travail d’orfèvre. Et votre voix convient si parfaitement à ces textes !

  203. Merci pour votre retour, Sandrine, qui me récompense du temps passé à peaufiner cette lecture.

  204. C’est rondement mené, on se croirait dans un coin du cabinet ! Bravo à tous les contributeurs, et en particulier à ceux qui se sont occupés du montage !

  205. Après cette première découverte de votre voix et de ce texte d’Alain Yvars, je suis ravie de voir que vous avez lu plusieurs autres de ses récits sur des grands peintres – des heures d’écoute en votre compagnie en prévision, donc !
    Merci.

  206. Merci Nadja, ma plus fidèle audio-lectrice, ton soutien et tes encouragements me sont précieux.
    Ahikar, Bruissement, vos messages me touchent d’autant plus qu’ils viennent de véritables ‘pros’ de LA, et me rassurent quant à l’ajout des accompagnements musicaux et bruitages – je poursuivrai donc dans cette même veine, tant que l’inspiration suivra !

  207. Votre commentaire, cher Vincent, me fait rougir de plaisir, venant non seulement d’un pilier du site LA mais également d’un DDV dont j’apprécie tout particulièrement les lectures.
    Merci, donc. Me voici impatiente de me remettre au travail !

  208. Je viens de me laisser emporter par les 5 premiers chapitres, et ai hâte de poursuivre l’écoute. Vous êtes, Pascal, un lecteur exceptionnel, qui savez rendre vivant chaque personnage et faire sentir l’atmosphère du roman.
    Un grand bravo

  209. Un grand merci à toutes et tous, ces commentaires me motivent pour poursuivre la lecture en préparation.

  210. Merci de vos retours ! Satie s’est très vite imposé à moi, je suis ravie de savoir que le résultat plaît…

  211. Merci pour cette belle lecture, qui nous transporte aux côtés de John Playfair et de la courageuse Miss Halliburtt à bord du Delphin.

  212. Cher André,
    Merci pour vos encouragements. Quant à une prochaine lecture, il va vous falloir être patient, je suis une lectrice très lente ! Mais je poursuis avec Le Braz, il reste encore beaucoup de textes à découvrir – je suis également tentée par une incartade avec un auteur différent, pour m’essayer à une autre écriture. A suivre …
    Gaëlle

  213. C’est une lecture très vivante, passionnée et passionnante ! Un exemple en tant que lectrice, un bonheur en tant qu’auditrice. Il est dommage que vous semblez avoir arrêté de publier sur ce site.

  214. Merci ! C’est ma toute première expérience, ces compliments me vont droit au cœur – en particulier d’un habitué du site 😉 – et m’encouragent à continuer.

    Gaëlle

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